Intitulé | propriété. « Dans la communion primitive, les hommes avaient droit indistinctement à l’usage de toutes choses, autant qu’il leur était nécessaire pr satisfaire à leurs obligations naturelles. – et comme rien ne peut les priver de ce droit, l’introduction du domaine & de la propriété n’a pu se faire qu’en laissant à tout homme l’usage nécessaire des choses, c’est-à -dire l’usage absolu requis pr l’accroissement de ses obligations naturelles. on ne peut donc les supposer introduites qu’avec cette restriction tacite, que tout homme conserve qque droit sur les choses soumises à la propriété, dans le cas où sans ce droit, il demeurerait absolument privé de l’usage nécessaire des choses de cette nature. ce droit est un reste nécessaire de la communion primitive. » liv 2 ch IX. |
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Stade typologique / Origine | Note de lecture |
Périmètre | Genèse de Bouvard et Pécuchet |
Auteur(s) | Titre | Date | Page(s) | Type de support documentaire | Type de référence bibliographique |
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Royer-Collard, Pierre-Paul (1763-1845) (trad.) Vattel, Emer de (1714-1766) |
Le droit des gens - t. 1
Dans : Le droit des gens / Klüber J. L. ; Mackintosh J. ; Royer-Collard P.-P. ; Vattel E. - 1830-1838 | 1830 | 352 | Tomes d'ouvrages en plusieurs volumes | Référence bibliographique de fragment |
Intitulé | Page(s) |
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propriété. « Dans la communion primitive, les hommes avaient droit indistinctement à l’usage de t [...] | 352 |
Créée par Stéphanie Dord-Crouslé le jeudi 26 mai 2011 11:11:43
Modifiée par Stéphanie Dord-Crouslé le vendredi 25 octobre 2013 18:06:17
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