Intitulé | Sensibilité Le soir dans une auberge, on mange une omelette insuffisante comme volume. alors la Baronne pense aux malheureuses mères qui tous les jours se trouvent dans le même état. Elle se met à pleurer. « Adèle tourna la tête de mon coté, me regarde tressaille & vole à moi – Théodore la suit, je les serre l’un & l’autre dans mes bras. jamais je n’ai senti, comme dans cet instant à quel point, ils me sont chers ! Je veux répondre à leurs questions, je ne le puis, mes larmes redoublent, ils pleurent aussi tous les deux ! » (75) Tout cela pr une omelette de 6 œufs que ses enfants dévorent & dont elle se prive, par délicatesse |
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Stade typologique / Origine | Note de lecture |
Périmètre | Genèse du premier volume de Bouvard et Pécuchet, Genèse de Bouvard et Pécuchet |
Auteur(s) | Titre | Date | Page(s) | Type de support documentaire | Type de référence bibliographique |
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Genlis, Stéphanie-Félicité Du Crest, comtesse de (1746-1830) | Adèle et Théodore - t. 3 | 1813 | 70-72 | Tomes d'ouvrages en plusieurs volumes | Référence bibliographique de fragment |
Intitulé | Page(s) |
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Sensibilité Le soir dans une auberge, on mange une omelette insuffisante comme volume. alors la B [...] | 70-72 |
Créée par Stéphanie Dord-Crouslé le samedi 05 novembre 2011 07:07:15
Modifiée par Stéphanie Dord-Crouslé le lundi 07 janvier 2019 21:09:22
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