Intitulé | Vers cette époque, on voit apparaître dans quelques fermes des machines à battre le grain. Dans les environs de Paris et des grands centres où les ouvriers agricoles deviennent rares, on commence // à remplacer les bras de l’homme par des engins mécaniques - il en résulte d’ailleurs de l’économie dans les frais de main-d’œuvre : on peut battre rapidement et profiter de l’élévation du cours des grains à certains moments. Il y a là de quoi tenter vos deux héros. S’ils font monter une machine à battre, que de déboires, ils se préparent : D’abord les premières machines sont de lourds instruments, encore informes, qui demandent la force de trois bons chevaux pour être mis en mouvement et dont le produit n’est pas en rapport avec le prix élevé qu’on est obligé de les payer. |
---|---|
Stade typologique / Origine | Note indéterminée |
Périmètre | Genèse du premier volume de Bouvard et Pécuchet |
Auteur(s) | Titre | Date | Page(s) | Type de support documentaire | Type de référence bibliographique |
---|---|---|---|---|---|
Godefroy, Jules (1833-1899) | Notes concernant l'agriculture rédigées à l'intention de Flaubert par l'agronome Jules Godefroy | 1874 | 61-62 | Document sans référence de publication | Référence bibliographique de fragment |
Intitulé | Page(s) |
---|---|
Vers cette époque, on voit apparaître dans quelques fermes des machines à battre le grain. Dan [...] | 61-62 |
Créée par Stéphanie Dord-Crouslé le samedi 10 décembre 2011 20:08:28
Modifiée par Stéphanie Dord-Crouslé le samedi 10 décembre 2011 20:08:29
URL permanente : http://www.dossiers-flaubert.fr/b-14435-3
2007-2024 IHRIM UMR 5317