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Référence exacteGenlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3 - 1813.
Page(s) 70-72
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Occurrence(s) dans les manuscrits / Fragment(s)

Liste des fragments Localisation Stade typologique / Origine Fragment de référence
Sensibilité Le soir dans une auberge, on mange une omelette insuffisante comme volume. alors la Baronne pense aux malheureuses mères qui tous les jours se trouvent dans le même état. Elle se met à pleurer. « Adèle tourna la tête de mon coté, me regarde tressaille & vole à moi – Théodore la suit, je les serre l’un & l’autre dans mes bras. jamais je n’ai senti, comme dans cet instant à quel point, ils me sont chers ! Je veux répondre à leurs questions, je ne le puis, mes larmes redoublent, ils pleurent aussi tous les deux ! » (75) Tout cela pr une omelette de 6 œufs que ses enfants dévorent & dont elle se prive, par délicatesseg226_2_f_182__v____Note de lectureFragment de référence

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