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Chapitre deuxième
La symbolique du sublime

2728.
Le sublime élève l’absolu au-dessus de toute existence visible. (v. p. 102-108)
I. Du panthéisme de l’art
Le tout dans ce qu’on a nommé panthéisme n’est pas la collection des existences particulières, mais bien plutôt le tout dans le sens de celui qui est tout ; c’est-à-dire d’un être unique, d’une substance immanente, il est vrai, dans les individus, mais à condition que l’on fasse abstraction de leur individualité et de leur réalité sensible. Réf. bibl.
Voyez p. 110-112 : panthéisme indien. « Là où le panthéisme est pur, dit Hegel, il n’admet aucun art figuratif comme son mode de représentation, la poésie seule. »Réf. bibl.
Le panthéisme oriental a été développé d’une manière plus élevée et plus libre dans la poésie mystique des mahométans et en particulier par les Perses mahométans. Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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Titre de la page : Chapitre deuxième
La symbolique du sublime

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