- Mais les animaux ont encore une certaine pudeur.RĂ©f. bibl.
- La mère de famille opposée à la femme du monde.(p. 181-182)
- Éloge de la matrone antique.(p. 183-184)
- Rousseau fait remonter l'immodestie actuelle aux invasions des Barbares,
à la vie des camps, aux livres de chevalerie :
« c'est ainsi que la
modestie naturelle au sexe est peu Ă peu disparue et que les
mœurs des
vivandières se sont transmises aux femmes de qualité. » (p. 185)
- Embarras des Ă©trangers et des provinciaux.RĂ©f. bibl.
-
Comment un Ă©tat dont l'objet est de se montrer au
public pour de l'argent peut-il convenir avec la modestie et les
bonnes mœurs d'une femme ? - Et comment résister aux séductions
de toute espèce dont elle est entourée. « Si qqfois la pudeur survit
à la chasteté que doit-on penser de la chasteté quand la pudeur
mĂŞme
est éteinte ? » (p. 188)
- « Elle (l'actrice) quitte en atteignant
la coulisse la morale du théâtre, aussi bien que sa dignité.
Et si l'on prend des leçons de vertu sur la scène, on les va
bien vite oublier dans les foyers. » Réf. bibl.
- Effets de la jalousie - de
l'association du luxe et de la misère. « Défendre au comédien
d'être vicieux, c'est défendre à l'homme d'être malade. » Réf. bibl.
- Genève n'est pas assez riche pr avoir un théâtre - les
comédiens de Paris ont déjà bien du mal à se
soutenir.
La moitié de l'année sera perdue pr eux, l'été où les Genevois
vont Ă la campagne. Cette raison n'existe pas Ă Paris.
Beaucoup de citoyens verront cette innovation de mauvais
Ĺ“il. (Du temps de Rousseau, pas plus de 4 théâtres Ă
Paris, p. 193). Sur quel argent les subventionner ?
Mais supposons toutes ces difficultés levées, quel changement
dans les mœurs.Réf. bibl.
- Les cercles de Genève (p. 205 et sq.)
- De la
vie des cercles de Paris : « chaque femme de Paris
rassemble dans
son appartement un sérail1 d'hommes plus femmes
qu'elles,
qui savent rendre à la beauté toutes sortes d'hommages
hors celui du cœur dont elle est
digne » (p. 210). - La société
permanente des femmes Ă©nerve l'homme. Les Anciens
les reléguaient chez elles. Réf. bibl.
- Voyez page 213 une note profonde
sur l'esprit des femmes (et surtout en tant que femmes de lettres)Â :
« elles ne savent ni décrire ni sentir l'amour même ».Réf. bibl.
- Retour aux cercles de Genève et leur caractère moral. Réf. bibl.
- Bons effets de la médisance (p. 219)
- Les cercles d'hommes ont