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Cote : Montmorency_495_f_019__r | ID_folio : 3612 | ID_Transcription : 3617 | ID_Image : 14350
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aussi leurs inconvénients, on y boit, on y s'enivre., mais le bien dépasse le mal. « ilIl n'y a que le plus farouche despotisme qui s'alarme à la vue de sept ou huit hommes assemblés, craignant toujours que leurs entretiens ne roulent sur leurs misères. » (p.page 223)
l'ivrognerieL'ivrognerie est un des vices les moins haïssables - le vin ne donne pas de la méchanceté, il la décèle « Partout les gens qui abhorrent le plus l'ivresse sont ceux qui ont le plus d'intérêt à s'en garantir. »(p.page 225)
« Jamais peuple n'a péri par l'excès du peuplevin, tous périssent par celui1 des femmes. » Réf. bibl.
leLe jeu se réprime par la police. onOn y peut substituer des jeux de hasard - mais d'ailleurs il n'y a pas à craindre qu'il prenne gdgrand crédit chez un peuple laborieux et raisonneur. - ilIl faut donc conserver les cercles à Genève - la comédie détruira tout cela -.Réf. bibl.
critiqueCritique de l'éducation actuelle des enfansenfants que l'on élève mollement &et sottement, belle page 231. beaucoupBeaucoup d'idées de l'Émile y sont en germe : « à mon dernier voyage à Genève j'ai déjà vu plusieurs de ces jeunes demoiselles en juste au corps, les dents blanches, la main potelée, la voix flûtée, un joli parasol vert à la main, contrefaire assez maladroitement les hommes. » Réf. bibl.
oppositionOpposition de la manière dont on élevait les enfansenfants autrefois : « on était plus grossier de mon temps etc. » ilIl y a ici teinte de Tacite &et dans la pensée et dans la forme même -.Réf. bibl.
leLe succès des comédiens attaquera la constitution en attaquant les mœurs.Réf. bibl.
lesLes spectacles sont une sorte de taxe sur le peuple plus onéreuse prpour le pauvre que pr le riche. Réf. bibl.
ilIl n'est pas possible que la différence du prix des places soit en rapport avec la différence des fortunes &et quand cela serait, des intérêts de vanité s'y opposent.voyVoyez la note, ppagep. 235. Réf. bibl.
ilIl en est de même des impôts sur les choses de première nécessité qui ne sont rien prpour le riche &et tout pour le pauvre : « de cette manière celui qui a peu paie beaucoup, et celui qui a beaucoup paie peu - je ne vois pas quelle gdegrande justice on trouve à cela. » Réf. bibl.
lesLes spectacles modernes oĂą l'on n'assiste qu'Ă  prix d'argent tendent

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé, Émeline Gorégues

Page de notes de lecture


Notes

1Rousseau écrit : "par le désordre" (p. 226).

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