| Fragments et références bibliographiques exactes |
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Livre IV.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre IV.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 |
[n°1]
difficulté de distinguer la volonté du peuple de celle d'une faction la périodicité des assemblées est propre à prévenir toute tyrannie ou tout changement inopportun - ces objets assemblées n'ayant pr objet que le maintien du traité social doivent s'ouvrir par deux propositions inséparables & qui doivent passer par tous les suffrages la première s'il plaît au souverain de conserver la présente forme de gouvernement la seconde s'il plaît au peuple d'en laisser l'administration à ceux qui en sont actuellement chargés
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre III. - p. 189.
Dans: Politique - t. 2 - 1790
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[n°2]
Aucune toute loi fondamentale, pas même le pacte social peut se révoquer. Grotius pense même que chacun peut renoncer à l'état dont il est membre et reprendre sa liberté naturelle et ses biens en sortant du pays. Or il serait absurde que tous les citoyens réunis ne pussent pas ce que peut séparément chacun d'eux 190.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre III. - p. 189-190.
Dans: Politique - t. 2 - 1790
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[n°3]
la volonté générale est indestructible, qqu'éludée qu'elle soit quel dans les consciences par les intérêts privés (1).
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre IV. - p. 191-194.
Dans: Politique - t. 2 - 1790
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[n°4]
plus il y a unanimité, plus la volonté générale est dominante le contrat social seul de sa nature exige un consentement unanime que celui qui … n'en veut pas se retire. quand l'état est constitué, le consentement est dans la résidence. habiter le territoire, c'est se soumettre à la souveraineté -
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre IV. - p. 195-197.
Dans: Politique - t. 2 - 1790
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[n°5]
du calcul des voix se tire la déclaration de la volonté générale, chacun ne votant, que comme fraction de volonté générale, est obligé, lorsque la volonté générale est déclarée, de la suivre cela prouve seulement que l'individu s'était trompé & que ce qu'il estimait la volonté générale ne l'était pas. plus les délibérations sont importantes plus l'avis doit approcher de l'unanimité - plus l'affaire exige de célérité plus on doit resserrer la différence prescrite dans le partage des avis. dans les délibérations qu'il faut terminer sur le champ, l'excédant d'une seule voix doit suffire
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre IV. - p. 199-200.
Dans: Politique - t. 2 - 1790
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[n°6]
dans une véritable démocratie les élections se devraient faire par le sort, tous les citoyens étant à peu près égaux - Quand le choix et le sort se trouvent mêlés le premier mode doit remplir les places qui demandent des talens propres, l'autre convient à celles où suffisent le bon sens, la Justice.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre IV. - p. 201-204.
Dans: Politique - t. 2 - 1790
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Cote Montmorency - vol. 495 - f°028 - Recto - 
f°028 - Verso | f°029 - Recto