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Cote : g226_1_f_016__v____ | ID_folio : 83 | ID_Transcription : 942 | ID_Image : 248
RĂ©colte
Préparer des boissons économiques1 .Réf. bibl.
Faux. – faux de Bretagne2 . Le manche est terminé par un morceau de fer destiné à faire équilibre avec le poids de la faulx.
Pour l’aiguiser, de l’acide sulfurique dans la proportion de 1/10 à 1/6.
RĂ©f. bibl.

– Dessiccation par la fermentation procédé de Clapmayer – dangereux (p. 290)
Faucille. Crételer3 , méthode usitée en Angleterre et aux environs de Rennes.Réf. bibl.
Un faucheur peut moissonner dans sa journée 60 ares, avec la faucille 20.Réf. bibl.
Pour paralyser l’influence des pluies un mât norvégien4 . p. 300
Rentrée des moissons. Tableau de la lenteur des paysans5 p. 300
« Je comparerais volontiers le cultivateur au moment de la moisson à un général d’armée au moment d’une bataille ! »6 Réf. bibl.
— Pour constater le degré de fermentation des foins, les Hollandais placent dans chaque meule une aiguille de fer garnie d’un fil de laine blanche qui est fixé à ses extrémités ; dès que la laine jaunit c’est qu’il y a excès de fermentation.Réf. bibl.
- Dans les années humides, les cultivateurs anglais construisent leur meule creuse dans le centre.Réf. bibl.
Silos
Le ministre Decazes a favorisé des essais. M. Ternaux dans son parc de Saint-Ouën en 18207 .
Depuis l’enthousiasme s’est ralenti. - Silos chinois, hollandais.
(p. 323).

Chaleur des étables utilisée pour chauffer des serres (p. 327)
Battage
Une quantité de gerbes doit passer 8 fois sous le fléau : 2 avant d’être déliées, 4 après l’avoir été et 2 lorsque la paille est secouée(p. 331)
Le dépicage8 est l’égrenage fait au moyen du piétinement des animaux.Réf. bibl.
Machines imitant l’action des fléaux.Réf. bibl.
Céréales
Froment
Le blé de Pologne à épi long s’appelle seigle de Pologne, seigle d’Astrakhan9 , blé d’Égypte, blé du Caire ! -Réf. bibl.
Blés durs, le pain moins blanc est plus savoureux, sèche et durcit moins promptement - … plus propres à la confection des vermicelles10 et autres pâtes.Réf. bibl.
Problème à résoudre : trouver un froment qui pût servir pour les deux saisons, qui fût à la fois très rustique comme blé d’hiver, et assez hâtif pour que semé en mars et même en avril il parvînt constamment et dans le temps ordinaire des moissons à sa maturité complète. – Quelquefois par suite des inondations, mulots etc, les fermiers manquent de blé de mars pour les réensemencements11 et sont obligés de remplacer par de l’orge et de l’avoine leurs froments12 détruits.(p. 374).

Transcription : Stella Mangiapane

Page de notes de lecture


Notes

1On lit dans l'ouvrage : "préparer des boissons économiques" (t. I, p. 286).

2Une figure illustre la « faulx de Bretagne » dans l'ouvrage (t. I, p. 288). L’utilisation de l’orthographe archaïque « faulx » est constante dans l'ouvrage.

3On trouve "crételer" dans l'ouvrage (t. I, p. 296).

4Dans l'ouvrage, une figure illustre ce procédé (t. I, p. 300)

5Dans l'ouvrage, un long passage entre guillemets, censé être prononcé par « un cultivateur du département de l’Oise », illustre ce tableau (t. I, p. 300).

6Flaubert recopie ici le début du paragraphe De la rentrée des moissons (t. I, p. 300) qui précède, dans l'ouvrage, le « tableau » dont il est question à la note précédente.

7On lit : "1820" dans l'ouvrage (t. I, p. 323).

8On trouve "dépiquage" dans l'ouvrage (t. I, p. 332). Flaubert utilise ici la variante orthographique du terme.

9On trouve "Astracan" dans l'ouvrage (t. I, p. 372).

10On lit : "du vermicel" dans l'ouvrage (t. I, p. 373).

11On lit : "réensemencemens" dans l'ouvrage (t. I, p. 374).

12On lit : "fromens" dans l'ouvrage (t. I, p. 374).

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