- Prairies naturelles
- Leur grand mérite c’est qu’étant toujours semées, leur produit n’éprouve pas de grandes variations
et qu’on peut fonder sur elles un système économique stable, – une agriculture
méthodique à résultats presque certains. - Les prairies temporaires
présentent des chances
assez nombreuses à leur début. (p. 463).
- est une ressource pour les terres riches et peu fertiles. cette plante ne s’élève jamais assez
pour donner lieu Ă une coupe qui paie le prix de fauchage et de fanage, et on doit la faire
brouter sur place. nous la conseillons aux cultivateurs chez lesquels
le trèfle ne réussit
pas et le sainfoin fleurit ras du sol.RĂ©f. bibl.
- échauffante - et prédispose le bétail à cornes aux maladies, même quand les plantes
sont fauchées en fleur. (p. 476.)
- Terrains argilo-siliceux humides. Se refusent aux terrains calcaires.
M. Lorgerill l’a cultivée1 dans les
landes de l’ouest. (p. 480)
- Une gelée peut détruire les ajoncs en une nuit. – Travail pénible et dispendieux
avant d’être donné aux animaux qui doivent s’en nourrir.Réf. bibl.
- Peu d’avantages. (p. 501).
- Fourrage fort cher. (p. 507)
- Progression décroissante des arbres en allant du Midi au Nord, - et les produits
diminuent de valeur.
Dans les régions équinoxiales, arbres à pain, palmier, bananier, ananas. – l’olivier et le figuier – le châtaigner – enfin le poirier et le pommier.(p. 514 et suivante) Figuier d’Inde (Cactus opuntia)
- En Sicile, 30 fruits ne coûtent qu’un sou de Naples, - et cela suffit à la
nourriture d’un homme. La Sicile s’engraisse pendant ces 4 mois. Ce
temps passé, le jeûne commence.Réf. bibl.
- Les jardiniers des environs de Paris environnent le tronc d’un anneau de goudron pour
empêcher les chenilles de grimper - et ils échenillent avec un bâton garni d’un
tampon de linge avec lequel ils battent les branches pour faire tomber
les chenilles - une mèche de soufre allumée au bout d’une
perche et présentée aux
différentes parties de l’arbre produirait un effet aussi
certain et moins
fâcheux pour la végétation.Réf. bibl.
- La préparation des pruneaux d’Agen consiste à les exposer au soleil pendant 48 h. Quand ils sont flétris on les met sur des claies dans un four qui n’a que le tiers de la chaleur nécessaire pour faire cuire le pain. On les retire quand ils ont une couleur brune.Réf. bibl.