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: Le piétinage que ces animaux lui font subir lui donne une grande compacité qui s’oppose à la fermentation et l’empêche de se mêler à la litière – on le rassemble en tas et on arrose ces tas fréquemment.
Convient aux terrains argileux lourds et froids. – La navette et le colza s’y plaisent particulièrement.Réf. bibl.
: À Thiers en Auvergne, à cause de la fabrication des couteaux.
Il n’y a guère que dans cette région que l’on use de cet engrais.(p. 174)
: agit sur les sarrazins1 , les lins, les chanvres, les colzas - améliore les pâturages.Réf. bibl.
: Son utilité niée à tort par M. Moride de Nantes.(p. 179)
: Quelques minéralogistes (parce que quelques échantillons sont translucides) les nomment Chrysolithes2 lorsqu’à la forme cristalline ils joignent une couleur jaune-doré. En ce cas, ils peuvent être plus ou moins confondus avec la topaze, mais celle-ci raye ceux-là, et d’ailleurs la phosphorescence fait reconnaître à l’instant le phosphate, qui ne fait que bien rarement feu au briquet.(p. 182)
: Se trouve souvent en nodules dans la chaux chloritée. C'est ainsi qu’au cap de la Hève3 près Le Havre, on a trouvé jusqu’à 37,3 pour 100 de matière utile4 . (p. 184)
: (κοπρος fiente λιϑος pierre)5 sont riches en chaux phosphatée. Leur forme qui justifie le nom de pierres d’escargot, les distingue de suite.Réf. bibl.
: se rencontre en petites masses mamelonnées. (p. 185)
Dans les grès verts du Havre on recueille une variété terreuse en rognons, d’un gris cendré ou d’un gris noirâtre6 qui se trouve également à Fins dans l’Allier.(p. 185)
: Un médecin nommé Leblanc en trouvant le moyen de produire du carbonate de soude avec du sel marin et du carbonate de chaux a ruiné totalement le commerce de la soude d’Alicante.(p. 209)
: Franklin ayant semé de la luzerne dans un champ fit en même temps écrire au milieu avec de la poudre de plâtre ces mots : « ceci a été plâtré. » Lorsque la plante fourragère eut poussé une végétation extraordinaire marqua ces paroles par une pousse plus élevée et par une couleur plus verte7 . Réf. bibl.
: Vilmorin a fait de même au moyen d’un nitrate de soude en poudre, et le résultat a été identique. Les graminées lui parurent en avoir plus profité que les légumineuses.(p. 231)
: peut être mauvaise sur un terrain calcaire. - Dépense inutile d’un cultivateur de la Mayenne... Son terrain s’empira.(p. 233)

Notes

1On trouve : "sarrazins" dans l'ouvrage de E. et H. Landrin (p. 177).

2On trouve : "chrysolithes" dans l'ouvrage de E. et H. Landrin (p. 182).

3On trouve : "cap la Hève" dans l'ouvrage de E. et H. Landrin (p. 184).

4Flaubert omet le sujet de la phrase et se trompe en recopiant le pourcentage : « C’est ainsi qu’au cap la Hève, près le Havre, Berthier a trouvé jusqu’à 57,3 pour 100 de matière utile » dans l'ouvrage de E. et H. Landrin (p. 184).

5Flaubert recopie entre parenthèses, en caractères grecs, une note écrite en caractères latins : "(1) Du grec : Kopros, fiente ; lithos, pierre" dans l'ouvrage de E. et H. Landrin (note 1, p. 185).

6"noir grisâtre" dans l'ouvrage de E. et H. Landrin (p. 185).

7Flaubert tire cette note du § 44 de la p. 27, paragraphe auquel le renvoie ce qu’il lit à propos des engrais minéraux : "Nous trouvons cité dans M. Puvis une expérience de M. Vilmorin, analogue à celle de Franklin (§ 44)" dans l'ouvrage de E. et H. Landrin (p. 231).

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Notes