- Le point capital est de bien établir les dessous.
on abaisse et on relève l’extrémité des bourgeons.Réf. bibl.
- Vase ramifié
sur trois branches(p. 412-414)1
- Distribuer la sève également dans toutes les branches – pour cela entailles aux
branches les plus vigoureuses pour détourner la sève – et on les palisse.Réf. bibl.
- – Èmousser. – enlever les têtes de saules complètement. s’il y a des bourgeons on choisit le plus
rapproché de la base pour le convertir en rameau à fruit - on comble
les vides avec des greffes de
boutons de fruits – maintenir les prolongements
longs jusqu’à ce que la branche soit restaurée.Réf. bibl.
- - Visiter les racines, mettre de la bonne terre.Réf. bibl.
- La restauration des quenouilles porte sur les rameaux à fruits
pour cela donner de la lumière, équilibrer
Le mieux est d’en faire des vases. pour cela on change la terre
incision annulaire
on coupe les branches en biseau et on
applique une greffe en couronne.Réf. bibl.
- Lambourde de poirier négligée2 . (p. 437). La sève a du mal à passer par
toutes ces ramifications pour arriver jusqu’au fruit.
Et il ne se forme sur ces lambourdes que des fruits
imparfaitement formés.
- Si on enlève toutes les lambourdes d’un seul coup, il se produit
des bourgeons en
quantité.Réf. bibl.
- Nécroses, produites par les mauvais coups de sécateur4 (p. 440) = portion de bois
mort enchâssée dans les parties vivantes
- Enlever et poser une greffe au sommet du biseau.Réf. bibl.
- Bourrelet. produits sur les onglets laissés
par le sécateur.Réf. bibl.
- Ulcère le frotter avec du jus d’oseille, souvent causé par la bêche qui a
blessé les racines.Réf. bibl.
- Gélivure – chlorose - langueur rouille des feuilles – tigre.(p. 454)