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Cote : g226_1_f_053__r____ | ID_folio : 651 | ID_Transcription : 998 | ID_Image : 1952
qui compte sur les produits de la culture pour payer la terre qu’il a acquise court à une ruine certaine » (Mathieu de Dombasle).
Supposons vos héros, alléchés par l’appât de devenir grands propriétaires à peu de frais, achetant un domaine dans la Contréecontrée désignée (Environsenvirons de La Loupe). C’est le pPerche confinant à Lala Beauce, ce n’est pas encore la Normandie. Les terres des pays environnants sont d’un prix élevé ; dès qu’on a franchi les Collinescollines du Perche, et celles de Normandie, on se trouve en plein pays d’herbage. aussiAussi peuvent-ils se croire très heureux d’avoir 100 hectares de terre pour 50 mille francs.Réf. bibl.
Si mes souvenirs sont exacts, le sol de la contrée est à peu près infertile. On cultive bien un peu de blé dans le fond des vallées et dans les parties déclives, mais vers le sommet des plateauxcollines, leset sur les plateaux, on trouve le sous-sol en grattant avec la charrue. Quant au sol, il est presque entièrement composé d’un sable blanchâtre et impénétrable aux rayons du soleil qui ne peut y faire pénétrerRéf. bibl.

Transcription : Stella Mangiapane

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