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Cote : g226_1_f_057__r____ | ID_folio : 911 | ID_Transcription : 1002 | ID_Image : 2732

2.

Mais, outre que l’on ne peut guèresguère réussir que dans des terres de bonne qualité, la théorie des engrais complets était parfaitement ignorée de 1830 à 1840, et en employant les poudrettes, l’engrais Lainé ou autres mélanges du même genre, seules ressources connues alors, vos bonshommes n’obtiendront que de piètres résultats.Réf. bibl.
Ces engrais, succédanés du fumier, excellents en eux-mêmes, ne renferment pas tous les éléments nécessaires à la vie des plantes ; ils contiennent surtout de l’azote &et quelques matières organiques dont la décomposition fournit un peu de carbone, mais ils manquent presque complètement d’acide phosphorique &et de potasse ; aussi, en excitant la végétation des plantes sur lesquelles on les répand, les forcent-ils à prendre dans le sol tous les principes qui leur font défaut. Comme ces principes sont enlevés avec la récolte et qu’on ne les reconstitue pas, la terre s’épuise rapidement et la végétation devient précaire.Réf. bibl.
On ne peut tenir ce raisonnement à vos héros, puisque la théorie est nouvelle, (je crois l’avoirRéf. bibl.

Transcription : Stella Mangiapane

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