fermer

f°057 - Recto | f°058 - Recto << Cote g226 - vol. 1 - f°059 - Recto -  >> f°060 - Recto | f°061 - Recto

Cote : g226_1_f_059__r____ | ID_folio : 2074 | ID_Transcription : 1004 | ID_Image : 6221

4

il faudrait plusieurs périodes de cet assolement,
et de grandes avances d’engrais et d’amendements
pour en obtenir -

En outre, pressés de faire des revenus, les propriétaires
ne seront que trop disposés à prendre le contresens
de l’assolement de Norfolk, en commençant
par la sole de blé. Les résultats seront
complètement négatifs.

Ils seront entraînés, toujours dans le but de
recueillir promptement l’intérêt du capital
engagé, à labourer les terres en friches pour
les cultiver en céréales
, au lieu de porter tous
leurs efforts sur les terres cultivées. Or, il vaut
toujours mieux placer le fumier sur les terres en
culture que sur les terres incultes.
Les chinois
le savent bien, eux qui disent que « Mieux vaut
bien cultiver un acre que d’en mal soigner
deux ».

Les propriétaires auront déboires, sur déboires
en employant ce système de culture, et
reconnaîtront bien vite que le bon marché
des terres pauvres est illusoire. Ils auront fait une

Transcription : Stella Mangiapane

Page de notes de lecture

Titre de la page : 4

Texte incluant cette page
Si vous avez relevé une erreur de transcription ou de normalisation, si vous pensez avoir déchiffré un mot illisible, prenez contact avec nous :