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Cote : g226_1_f_066__r____ | ID_folio : 749 | ID_Transcription : 1011 | ID_Image : 2246

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Des animaux qu’on a payés quatre ou cinq mille francs ne sont plus bons que pour l’équarrisseur.
Avec tous ces agissements qui peuvent à la rigueur s’appuyer sur la théorie, vous voyez que vos héros peuvent en bien peu de temps voir se fondre le capital qu’ils avaient destiné à l’agriculture.Réf. bibl.
Je ne vous ai pas parlé de l’industrie qui était peu commune dans les fermes à l’époque où vous vous placez. Cependant il y avait quelques féculeries. Comme leur terrain est propre à la culture de la pomme de terre, ils pourraient avoir la fantaisie d’en installer une, et opérer ainsi que je l’ai vu faire chez un cultivateur de Seine-et-Oise, candidat à notre Coupe d’honneur du Comice agricole et que j’ai visité cette année.Réf. bibl.
Ce cultivateur plus plein de zèle que de science fait approprier des bâtiments, monter tous les appareils ; bref dépense environ 15 000 francs puis, tout cela fini, sachant qu’il faut des quantités d’eau considérables, il se décide à faire creuser un puits et ..... trouve de l’eau après avoir dépensé pour son puitsRéf. bibl.

Transcription : Stella Mangiapane

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