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Cote : g226_1_f_137__v____ | ID_folio : 2555 | ID_Transcription : 1252 | ID_Image : 7664
Il fait des essais infructueux qui lui coûtent très cher pour retrouver le rouge de cuivre des Chinois. – Désespoir de voir ses couleurs se volatiliser au feu. Il veut combiner l’oxyde d’antimoine et l’iode et n’arrive à aucun résultat. – Afin d’éviter les gerçures de son émail il mêle de la chaux avec son argile pour en augmenter la fusibilité. Alors ses faïences sont trop fragiles et se brisent pour la plupart en se refroidissant. – Il fait des études pour arriver à accorder la terre et l’émail, c’est-à-dire que dans la cuisson, la terre et l’émail se retirent l’un et l’autre de la même quantité, de façon à éviter les gerçures et les fendillements. Il n’y arrive qu’après de longs essais dispendieux.
Partant de l’idée des plaques de poële (Allemagne) : plaques décorées d’un mètre pour cabinets de toilette, cimaises, revêtements de pavillons, escaliers. Ces plaques gondolaient. Vasques - jardinières (le vase de Médicis, de Bacchus).
Grands feuillages avec des oiseaux d’eau (Japon). - Décoration végétale.

Transcription : Stéphanie Champeau

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