De la conservation &et de la Restaurationrestauration des Tableauxtableaux, Horsin DĂ©on
- rentoilageRentoilage
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« onOn prétend que la pression du fer nuit aux tableaux, qu’elle écrase les empâtemensempâtements
&et change ainsi le caractère du maître. (p. 1) - maisMais l’accident est toujours le
fait d’un homme inexpérimenté.
siSi la peinture est moderne, en la piquant avec une aiguille dans ses empâtemensempâtements l’aiguille entrera facilement. ; si elle est vieille l’aiguille pénétrera en pulvérisant la peinture qui éclatera sous sa pression. Alors la peinture date d’au moins 80 ans &et est ce qu’on appelle en curiosité émaillée. (p. 3) Ail
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onleLe rentoileur s’en sert prpour frotter le tableau en réparation, afin de donner plus d’intensité à ses
collages.
- ses premières opérations furent inventées &et faites par Mr Picault. Hacquin perfectionna
ses procédés. (p. 13)
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La transfiguration de Raphaël par les ordres de Napoléon subit l’enlevage.
Hacquin en fut
chargé.
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tousTous les maîtres gothiques employaient le blanc à la colle prpour la préparation de leurs panneaux
L’Allemagne, les Pays-Bas, la France, dans les temps primitifs
utilisèrent prpour l’exécution
de leurs peintures des panneaux de bois de chêne très minces qu’ils recouvraient
légèrement de cette préparation. – Les italiensItaliens employaient généralement des panneaux
de cèdre d’une gdegrande épaisseur. QqfoisquelquefoisQuelquefois ils collaient une toile dessus.
Au XVIe siècle les artistes commencèrent à peindre sur panneau sans préparation. Lesueur
- prquoipourquoiPourquoi un ton bleuâtre ? ilIl frottait d’une demi pâte d’outremer la toile dans toutes
les parties destinées à recevoir des
ombres avant même de procéder à son ébauche. Malheureusement la matière était mal
choisie car elle est des plus absorbantes &et finit toujours par dominer les autres tons.
- lesLes artistes italiens employaient une espèce de coutil très serré ou bien une toile à fils
plats qui
leur est particulière - ils employaient aussi la soierie p-pour leurs petits
tableaux. Malheureusement tous reçurent p.pour impression des couches d’ocre sans
mélange &et préparée à l’huile pure.
On attribue au Corrège des toiles dorées, au Titien des ébauches en
grisailles (30)
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L’emploi immodéré de l’huile &et des siccatifs contribue à faire noircir les tableaux. – ilsIls entraînent
même la perte de l’œuvre du maître qui en a
fait abus.
- Le restaurateur doit être discret. ilIl est tenu en charte privée par les amateurs (p. 47)
- onOn entend par — celles que l’on couche dans le sens des chairs ou des plis, des étoffes en les harmoniant avec l’original, &et en anticipant sur les parties conservées du maître. (p. 50).