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: condamna, au feu tous ses écrits, 1819.Réf. bibl.
: Architectura carmen, poëme de Borelli, 1746.
Il tonne contre l'architecture gothique. - Il décrit les principaux monuments de Paris.Réf. bibl.
: Traité de la musette, 1674, par Borjon1 .Réf. bibl.
: Essai sur l’application du chapitre VII du prophète Daniel à la Révolution française ou Motif nouveau de crédibilité fourni par la Révolution française sur la divinité de l'Écriture sainte, Bruxelles, 186 pages par Boucqueau2 , 1802.
L'ouvrage est dédié à Bonaparte - L’auteur y démontre que la conquête de la Lombardie et la paix de Lunéville ont été prédites par Daniel.Réf. bibl.
: La réunion du 10 août, ou l’inauguration de la Révolution française, sans culotide en 5 actes par Bouquier et Moline, - en vers.
Trois théâtres la jouèrent en même temps. Imprimée à Paris en 1791. Réf. bibl.
: Essai sur les superstitions communes aux Égyptiens, aux Abyssins et aux Aschantis, Paris, 1821, par Bodwich. Réf. bibl.
: Bibliothèque des érudits précoces de Klefeker.Réf. bibl.
: Toute la vie du marquis de Brie-Serrant, qui voulut faire de Pornic un port militaire, - un canal à Machecoul et supporta une misère atroce -
Projets, mémoires. Mort en 1814. Réf. bibl.
: Conchyliologie fossile sub apennine, Brocchi, 1814.
Contrairement à Cuvier, il pense que les eaux qui couvraient les Apennins se sont retirées très lentement. – Opinion adoptée maintenant. Réf. bibl.
: Le cardinal de Belloy l’appelait « homme de la droite de Dieu » - l’évêque de Broglie louait « son amour pour la paix ». Voir leurs mandements3 .Réf. bibl.

Notes

1"Le Traité de la musette est orné de plusieurs planches et accompagné d'airs composés pour cet instrument, par Borjon, qui n'était, dit-il, musicien que pour son plaisir" (p.21).

2Flaubert écrit "Boucquereau" au lieu de "Boucqueau", forme donnée dans l'article de la Biographie universelle et dans la Biographie nationale de Belgique, sachant que la notice du catalogue de la BnF indique un accent aigu: "Boucquéau".

3"Nous ne parlerons pas de quelques mandemants qu'il publia sur des victoires ou d'autres événements politiques : il y donnait à Bonaparte des éloges qui pouvaient être excusés par ses prodigieux succès (2). (Note 2) C'était l'époque où le cardinal de Belloy, archevêque de Paris, appelait Napoléon l'homme de la droite de Dieu. Le clergé allait alors plus loin que les autres fonctionnaires de l'état dans les formules de l'adulation ; Maurice de Broglie, dépassant toute mesure, loua dans le conquérant qui bouleversait l'Europe son amour pour la paix" (p. 290).

f°253 - Recto | f°254 - Recto Cote g226 - vol. 1 - f°255 - Recto - f°255 - Verso | f°256 - Recto

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Notes