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C-D

: Théorie circonsphérique des deux genres de Beau, in-8, Paris, 1812, par Cordier de Launay. C'est le premier code du romantisme.Réf. bibl.
: Costard, L'homme de bonne compagnie, 1806, in-12.Réf. bibl.
: Costard, L'École de l'urbanité, ou entretien d'un père avec ses enfants sur l'usage du monde, Paris, 1810, in-12.Réf. bibl.
: Cournand, professeur au Collège de France, - à l'inauguration en 1803, un discours en vers sur les avantages de la poésie :
« Combien de bons bourgeois dans leur départementFont de la poésie un doux délassement ! » Réf. bibl.
: Dartigoeyte (Biographie universelle, Supplément, p. 101.)
: L'ami des arts - ou Justification de plusieurs grands hommes, Decroix, 1776, in-12.Réf. bibl.
: Au 18e siècle à Lyon, Degranges meurt centenaire ayant eu de trois femmes 50 enfants.Réf. bibl.
: L'enterrement de ma mère, - ou réflexions sur les cérémonies des funérailles, et le soin des sépultures, et sur la moralité des institutions civiles en général1 , Delamalle, 1795.Réf. bibl.
: L'Éligible par Delrieu, Sauvage et Mazères, 1821, 5 actes et en vers.Réf. bibl.
: Les Principes naturels du Droit et de la Politique, Desbans, 1715.Réf. bibl.
: Decremps.Réf. bibl.
: Voir Valentine ou le Pasteur d'Uzès, roman de Victor Ducange.Réf. bibl.
: La Science des ombres par rapport au dessin, 1760, in-8, Dupain-Montesson.Réf. bibl.
: Voir Dupuy des Islets chantant Bonaparte et les Bourbons2 .Réf. bibl.
: Les Lacunes de la Philosophie, par Escherny, 1783.Réf. bibl.
: Escherny, Mélanges de littérature, d'histoire de morale, 1809, 3 vol.
L'auteur d'abord démocrate - puis repentant, prétend que l'imprimerie ramènera la barbarie3 .Réf. bibl.

Notes

1"Cet opsucule fait connaître les temps désastreux de 1793 à 1799, et offre un tableau énergique du peu de décence qui présidait alors aux obsèques des citoyens. Delamalle, qui l'avait composé en 1795 [sic], ne put trouver un imprimeur qui osât le publier" (p. 247).

2"Dès ce moment [1801] il grossit le nombre de ces anciens royalistes qui, sans abandonner les sentiments et les opinions de l'émigration, affectaient un enthousiasme sans bornes pour Napoléon. Renonçant à la poésie élégiaque que jusqu'alors il avait cultivée, il s'éleva jusqu'à la poésie lyrique, et rima des chants pindariques sur les victoires de l'empereur. […] Néanmoins, dès le commencement de 1813, l'enthousiasme de Dupuy des Islets commença à chanceler avec la fortune de Napoléon […]. Dès les premières semaines de la restauration, Dupuy des Islets fut nommé chevalier de Saint-Louis et promu au grade de major de cavalerie. Alors sa muse fut toute aux Bourbons" (p. 213).

3"Dans ses ouvrages, comme dans sa vie, d'Escherny présente une foule de contradictions ; mais on est toujours forcé de les lui pardonner, parce qu'il est constamment de bonne foi. Partisan des principes philosophiques, il montre en même temps un attachement sincère aux idées d'ordre et de hiérarchie sociale. […] il fait l'apologie de l'ignorance, et, sans être prophète, croit pouvoir prédire que l'imprimerie ramènera les hommes à la barbarie. Ses jugements, comme ses opinions, étaient si mobiles qu'il n'est pas rare de le trouver en opposition dans le même chapitre" (p. 425).

f°271 - Recto | f°272 - Recto Cote g226 - vol. 1 - f°272 - Verso - f°273 - Recto | f°274 - Recto

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Notes