De l’Éducationl'éducation, par MeMadameMme Campan, publié par Barrière., 1824
- Suicides d’enfants, trop punis : une petite fille qui avait volé une montre &et qu’on força à assister à la procession
de la fêteFête-Dieu avec cette écri cet écriteau « voleuse de montre », elle se noie.
unUn jeune garçon, n’osant rapporter à son père une mauvaise note, se jeta dans la Seine. (p.page 62) - traiterTraiter la colère, comme une maladie. leurLeur faire subir un traitement - qui les importune. idéeIdée de jJean-Jacques Rousseau, dont MeMadameMme Campan a
reconnu l’efficacité. Réf. bibl.
- L’eau froide au visage peut les enrouer - prpour le reste de leur vie.Réf. bibl.
- « Comment se font les enfants ? » - leurLeur répondre que l’accouchement est une opération chirurgicale, très dangereuse.Réf. bibl.
- tousTous les jouets, qui se meuvent par des ressorts mécaniques n’inspirent aux enfants qu’un étonnement
passager.RĂ©f. bibl.
- MeMadameMme de Genlis faisait faire à ses élèves des plans en
relief de maisons. chaqueChaque pièce porte un numéro renvoyant
Ă un cahier, dans lequel se trouvent les noms de ces
différentes pièces. - c’estC'est une
manière d’apprendre la théorie de l’architecture. (p.page 104)
- auxAux dîners, on ne parlait qu’anglais, &et aux soupers italien. Réf. bibl.
- « Le soin des mains est négligé en France ... lesLes dames du Nordnord de l’Europe ont de plus belles mains que les dames françaises. » (p.page 113) - ceciCeci est
Ă©crit en 1812.
- Quatrains moraux prpour les enfants, composés par François de Neufchâteau.Réf. bibl.
- Cartes historiques, usitées depuis longtemps en Angleterre, &et introduites en France par MrMonsieurM. de Jouy.Réf. bibl.
- Faire apprendre par cœur. : les odes de J. BaptisteJean-Baptiste Rousseau,
les chœurs d’Esther &et d’Athalie,
la Scènescène du jeune Éliacin,
Lesles premiers chants du poĂ«mePoème de la Religion par Racine, le fils.RĂ©f. bibl. - interdireInterdire les romans : MathildeMathilde, CorinneCorinne, Walter Scott, parce que c’est trop beau, trop chimĂ©rique. laLa rĂ©alitĂ© est pâle Ă
côté. Les lectures romanesques exaltent la sensibilité. (p.page 211)
- lesLes permettre à 18 ans les romans. « la ClarisseLa Clarisse de Richardson, le père &et la filleLe Père et la fille de Miss Opy sont du nombre de ces ouvrages que leur
supériorité a placés parmi les livres
classiques. » (p.page 215)
- piècesPièces de théâtre qu’il est bon de voir : Le misanthropeLe Misanthrope, le MéchantLe Méchant, le glorieuxLe Glorieux, MélanieMélanie, la gouvernanteLa Gouvernante, NanineNanine, les deux
gendresLes Deux Gendres !Réf. bibl.
- Jamais de ballets, parce que « l’amour &et la volupté s’expriment dans un langage muet, mais expressif. » (p.page 217)
- ignoranceIgnorance de l’ancienne éducation des filles. MeMadameMme Campan insiste là -dessus. : - « Par le peu qu’exigeait Fénelon, il est aisé
de juger du peu qu’on savait. » (p.page 226)
- Pestalozzi, à Yverdun, réglait tout au son de la gl cloche.Réf. bibl.
- Cartouche commença par voler une pomme - puis uneqquesquelques pommeses, puis une pièce d’argent, puis 25 louis
à son père, etc.
Il faut raconter cette histoire aux enfants voleurs. RĂ©f. bibl.