| Fragments et références bibliographiques exactes |
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[n°1]
Noms des personnages. La Baronne d’Almane ! la Vtesse de Limours. la Ctesse d’Ostalis Porphire. homme de lettres !
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813.
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[n°2]
Adèle morale. La mère d’Adèle lui donne par mois deux louis pr ses menus plaisirs. Elle les dépense & n’a économie plus de quoi faire l’aumône - une pauvre femme intéressante se présente. - remords. larmes.
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 2-9.
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[n°3]
un voyage en italie on passait la corniche dans des litières, portées par des hommes t 3, p 49.
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 46.
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[n°4]
Sensibilité Le soir dans une auberge, on mange une omelette insuffisante comme volume. alors la Baronne pense aux malheureuses mères qui tous les jours se trouvent dans le même état. Elle se met à pleurer. « Adèle tourna la tête de mon coté, me regarde tressaille & vole à moi – Théodore la suit, je les serre l’un & l’autre dans mes bras. jamais je n’ai senti, comme dans cet instant à quel point, ils me sont chers ! Je veux répondre à leurs questions, je ne le puis, mes larmes redoublent, ils pleurent aussi tous les deux ! » (75) Tout cela pr une omelette de 6 œufs que ses enfants dévorent & dont elle se prive, par délicatesse
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 70-72.
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[n°5]
on aime les médecins parce qu’on leur parle de soi. (215)
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 218-219.
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[n°6]
Venise lui paraît triste, sale, désagréable « de vieilles maisons d’une architecture gothique »
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813.
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[n°7]
de Venise à Rome, par Bologne & Lorette. « nous avons été obligés de nous contenter souvent de n’avoir à dîner et à souper, que du pain & qques mauvais œufs » 265.
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 255.
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[n°8]
Les dames romaines p. ne pas sentir les parfums des françaises se mettent dans les narrines, des feuilles vertes (268)
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 268.
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[n°9]
les Carrosses de Rome vont extrêmemt lentemt, par dignité (269.
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 269.
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[n°10]
ostentation & misère des patriciens « ils se trouvent fort bien éclairés avec une chandelle, & parfaitement nourris avec un petit écu, par jour. (270
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 270.
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[n°11]
L’assassin est toujours favorisé par le peuple. toutes les maisons lui sont ouvertes. De là , il se sauve dans les églises où il trouve un asile aussi sûr que sacré. (271
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 271.
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[n°12]
Les femmes du monde avouent « franchemt » qu’elles ont un amant - cela s’appelle de « la Candeur (274)
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 274.
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[n°13]
les dames Napolitaines se choisissent un danseur pr toute l’année & le gardent (281
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 281.
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[n°14]
Pour préserver un jeune homme des passions - le père le fait coucher dans sa chambre, ajourne ses questions indiscrètes X & puis c’est tout. Du moment que l’enfant couche dans sa chambre tout est sauvé. (304
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 304.
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[n°15]
les ballets bouffons en italie. « sont d’une platitude & d’une indécence que nous ne trouverions pas tolérables aux spectacles de la Foire.
Référence exacte :
Genlis, S.-F. D. C. - Adèle et Théodore - t. 3. - 1813. - p. 358.
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Cote g226 - vol. 2 - f°182 - Verso - 
f°183 - Recto | f°184 - Recto