- Noms des personnages
- la baronne d’Almane !
la vicomtesse de Limours
la comtesse d’Ostalis
Porphire, homme de lettres !Réf. bibl. Morale - La mère d’Adèle lui donne par mois deux louis pour ses menus plaisirs. Adèle les dépense et n’a
plus de quoi faire l’aumône - une pauvre femme intéressante se présente. - Remords,
larmes.RĂ©f. bibl.
- Un voyage en Italie : on passait la corniche dans des litières, portées par des hommes. (t. 3, p. 49)
- Le soir dans une auberge, on mange une omelette insuffisante comme
volume. Alors la
baronne pense aux malheureuses mères qui tous les jours se trouvent dans le même état.
Elle se
met à pleurer. « Adèle tourna la tête de mon coté, me regarde, tressaille, et vole à moi –
Théodore la suit, je les serre l’un et l’autre dans mes bras. Jamais je n’ai senti, comme dans cet
instant à quel point, ils me sont chers ! Je veux
répondre à leurs questions, je ne le puis, mes larmes
redoublent, ils pleurent aussi tous les
deux ! » (p. 75) Tout cela pour une omelette de 6 œufs que ses
enfants dévorent et dont elle se
prive, par délicatesse.
- On aime les médecins parce qu’on leur parle de soi. (p. 215)
- Venise lui paraît triste, sale, désagréable : « de vieilles maisons d’une architecture gothique ».Réf. bibl.
- De Venise à Rome, par Bologne et Lorette, « nous avons été obligés de nous contenter souvent de n’avoir à dîner
et Ă souper,
que du pain et quelques mauvais œufs ». (p. 265)
- Les dames romaines pour ne pas sentir les parfums des Françaises se mettent dans les narines, des feuilles vertes. (p. 268)
- Les carrosses de Rome vont extrêmement lentement, par dignité. (p. 269)
- Ostentation et misère des patriciens : « ils se trouvent fort bien éclairés avec une chandelle, et parfaitement nourris avec un
petit écu, par jour. » (p. 270)
- L’assassin est toujours favorisé par le peuple. Toutes les maisons lui sont ouvertes. De là , il se sauve dans les églises
oĂą il trouve un
asile aussi sûr que sacré. (p. 271)
- Les femmes du monde avouent « franchement » qu’elles ont un amant - cela s’appelle de « la
candeur ». (p. 274)
- Les dames
napolitaines se choisissent un danseur pour toute l’année et le gardent. (p. 281)
- Pour préserver un jeune homme des passions - le père le fait coucher dans
sa chambre, ajourne ses questions indiscrètes
et puis c’est tout. Du moment que l’enfant couche dans sa
chambre tout est sauvé. (p. 304)
- Les ballets bouffons en Italie « sont d’une platitude et d’une indécence que nous ne trouverions pas tolérables aux spectacles de la Foire. »Réf. bibl.
Économie