Physiologie des passions - Letourneau. 1878.
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La moralité publique suit la mercuriale des grains. (Mélier mém. de l’acad. de médecine t X.)
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cela veut dire que les fibres musculaires sont gorgées de substances albuminoïdes, qu’en traversant
les capillaires des muscles, le sang subit une désoxygénation imparfaite, que le liquide interfi-
brillaire est fortement alcalin. ( 24) -
un chien, bouledogue amené en Nouvelle-Calédonie par le P. Rougeyron effraya tellement les habitants qu’ils lui
envoyèrent des fruits & une ambassade qui lui fit un discours p- se concilier sa
puissance. ( 50)
Religion
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1er Ă©tat. FĂ©tichisme offrir des
présents à ce qui est plus fort que vous
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2e Polythéisme. explication des phénomènes naturels.
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3e Monothéisme. généralisation plus large de la même idée
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4e  panthéisme
 Confusion du monde
&
des forces qui le dirigent.
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Les idées innées devraient resplendir chez l’enfant comme
dans une eau limpide. - Pas du tout. il n’a aucune idée de morale
ne pense qu’à satisfaire ses besoins.
il se représente Dieu, sous les traits de son père & de son magister.
l’individu nous montre la même idée évolution de l’idée religieuse que l’humanité. -
tout phénomène psychique correspond à une congestion sanguine.
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le sommeil correspond à une anémie cérébrale. - Durham
&
 Cl. Bernard.
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une femme, avait perdu une portion du crâne - quand son sommeil n’avait pas de songes
le cerveau Ă©tait immobile. Quand elle avait rĂŞvait. turgescence du cerveau. observation
de Pierquien. voy. Biologie de Letourneau liv. VI. ch X. -
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le jeu de la sensibilité élève la température de l’écorce cérébrale - dans une certaine région
la perception des sons échauffe telle région du cerveau, celle des saveurs en échauffe une autre. ( 67).
besoins cérébraux.
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vie du Hongrois Mentelli.Â
(Â 7071)
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l’idiome algonquin n’avait pas de mot pr
dire aimer.
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à Montpellier en 1862, est opéré de la cataracte
&
recouvre la raison.
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il ne dépend pas de la volonté d’un homme d’être nègre, blanc ou mongol -
&
cependant
c’est le moule dans lequel l’a jeté la nature qui déterminera sa manière de sentir, de penser
- par suite de désirer & d’agir. -- Donc l’homme n’est pas libre, puisque p- être lib
libre, il devrait s’abstraire métaphysiquement de ce qui constitue son être »  113. -
La conviction du libre arbitre existe chez les hommes parce qu’ils ont
conscience de leurs actions, mais non du motif qui les détermine. - donc les décrets
de l’esprit ne sont que des appétits variables nécessairement selon les besoins du corps.
- nous croyons en songe faire par une décision de l’esprit, des choses qu’éveillés
nous n’oserions accomplir. - l’homme obéit toujours au désir le plus fort. c’est p- cela
qu’il se croit libre.
(voy. éthique pars III. pr. II. schol)
jeunesse.