- RĂ©compense Â
- Bons points, ceintures, exemptions, carte de mérite, bulletin d’honneur, médailles.
- Pénitences en effigie, verges attachées dans le dos, écriteau.
Se rappeler le poteau de Louis Blanc. - Toute pénitence doit être médicinale, c’est-à -dire appropriée à la faute commise. Privation d’un mets s’il
a commis un acte de gourmandise, - surcroît de travail si c’est un acte de paresse.
Reste à savoir si le désir n’en sera augmenté ? - Les châtiments corporels sont quelquefois indispensables.
- Les enfants ne doivent jamais rester seuls. Il a souvent suffi d’un instant pour qu’un
enfant se blessât mortellement ou pour qu’il perdît l’innocence. (p. 254)
- Le tutoiement pris à 93, enlève le respect.
- Depuis que les femmes ont des places réservées dans les cours d’assise pour les procès célèbres
on a pu remarquer que leur sympathie Ă©tait gĂ©nĂ©ralement acquise Ă
l’accusé.(p. 341)
- « Une femme, qui sourit à des propos légers contriste les saints anges qui président à la
modestie. Son sourire n’est pas gracieux. Mais il a quelque chose de satanique qui afflige
les regards vertueux. »(p. 388)
- Une femme agonisante, comme on l’exhortait à recourir à la foi laissait sortir ces
paroles : « Comment... voulez-vous... que j’aie la foi ? - J’ai tant lu ! »
- Comparaison des Anglais marchands d’opium qui empoisonnent la Chine, à ces empoisonneurs du bon goût et des bonnes
mœurs qui etc. (p. 393)
- La passion des femmes liseuses s’exercent rarement sur les bons livres.
- Rapport du vicomte de La Guéronnière sur le colportage, avril 1853. « Il suffirait
d’inscrire ici quelques-unes des titres de ces livres. – La pudeur ne le permet pas. Je ne
souillerai pas ce rapport
de mots obscènes, même pour les flétrir. » Réf. bibl.
- « Un roman n’est ni une histoire, ni un apologue, ni une fable,
c’est le récit
d’aventures, d’événements inventés à plaisir, et dans lequel on met en scène les
passions
les plus violentes, afin de remuer et d’exciter celles des lecteurs. » Réf. bibl.
- « Ces compositions sont dénuées de toute vérité humaine - tandis que dans la vie
humaine, tout
est marqué au coin de l’imperfection, dans ce monde des chimères
tout est présenté sous l’aspect le
plus séduisant. » (p. 395-396)
- « Le roman ne nous fait voir que des femmes extraordinaires, excentriques et qui
ne ressemblent à rien à la femme véritable. »(p. 398)
- « Ce qu’on appelle les bons romans a fait plus de mal depuis vingt-cinq ans que toutes les productions éhontées de la régence et que tous les ouvrages impies ou libertins du 18e siècle. »(p. 405)
Propos légers
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