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: « MrMonsieurM. de Chateaubriand, lui-même malgré les faiblesses de sa vie, malgré l’étonnement &et les regrets que les mémoires de sa tombe donnent à ses admirateurs, laissera lui aussi un nom illustre ! » (p.page 285)
: « Le commandement des armées n’est plus un privilège. Comme la couronne de Philippe-Auguste, il est au plus digne. » (p.page 287)
: « leLe pavé de Paris, c’est-à-dire les jockeys-clubclubs, le boulevartboulevard des italiensItaliens, le jeu effréné, les foyers de spectacles, les chevaux, les chiens, les cigares, les femmes, &et les avilissemensavilissements qu’on ne peut dire ! » (p.page 288)
: àÀ propos de l’oisiveté : « nonNon, la chasse, les romans, les chevaux &et les chiens ne suffisent à rien &et à personne. »Réf. bibl.
: L’application seule fait les gdsgrands hommes, les gdsgrands saints, les héros, les hommes de génie.Réf. bibl.
: « poëtesPoètes, littérateurs, historiens, philosophes ne s’appliquent plus ! »(p.page 295)
: « laLa société est l’image du chaos. chaqueChaque chose, chaque homme n’y est point à sa place. »(p.page 314)
: ilIl y en aura toujours quoiqu’on fasse - &et l’éducation doit être en vue de la classe à laquelle on appartient mais l’auteur ne dit pas le moyen de les reconnaître. (p.page 322)
: « laLa classe qui a reçu l’instruction primaire commet, toute proportion gardée, plus de crimes que la classe qui n’a reçu aucune instruction – » (MrMonsieurM. Fayet., AcadAcadémie des Sc.Sciences morales, 7brseptembre 1843). Réf. bibl.
: MrMonsieurM. Ch.Charles Dupin : « l’instructionL'instruction supérieure l’emporte sur toutes les autres par la multiplicité des crimes. » (p.page 367)
: Le latin est surtout important, parce que c’est la langue de l’églisel'Église.(p.page 409)
: àÀ cette objection qu’on ne sait pas ce qui se passe dans les Petits Séminaires = : ils sont sous la surveillance de l’Évêquel'évêque qui « demeure aux yeux du gouvernement l’autori prpour les écoles ecclésiastiques de son diocèse l’autorité responsable. - queQue veut-on de plus ? »(p.page 411)
: « L’école polytechnique, non par elle-même mais par les règlements qui en décident les examens, l’entrée, la sortie &et l’âge d’admission est depuis qquesquelques années une des causes les plus puissantes de l’abaissement littéral de la France ».(p.page 442)
: ilIl ne faut pas cesser de faire bonne heure la htehaute éducation intellectuelle., - comme avait fait Napoléon. (p.pages 450-451)
: enEn 1844 - : « Gardons-nous messieurs de mêler ainsi la Sciencescience à la Politiquepolitique, de troubler l’une par l’autre et d’exposer la jeunesse à se ressentir des secousses qui nous agitent. Ne placez pas si près de ce volcan le paisible asyleasile qui contient tout ce que vous avez de plus cher, c’est-à-dire vos enfants. »Réf. bibl.
: L’éducation s’appuie sur l’autorité. - qu’estQu'est-ce que l’autorité ? le droit de commander &et d’être obéi. - àÀ qui appartient-il à Dieu &et à ses délégués (t.tome 2). L’autorité sur une chose ne peut appartenir qu’à celui qui l’a créée Dieu est non seulement toute l’autorité. Il est l’autorité même. - Le père &et la mère ne sont que les envoyés de Dieu., ils tiennent de lui leur autorité. Réf. bibl.
: Dieu dit : « Faisons l’homme à notre image &et à notre ressemblance. » c’étaitC'était beaucoup dire : l’effetl’effet suivit la parole –.(p.page 119)
: « Dieu appliqua ses mains divines à un peu de terre ...... cette boue façonnée par de telles mains. »(p.page 120)

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