- [1]
- George Sand
- La plume de Mme de Staël était celle d’une femme
galante. Celle de George Sand celle d’une femme sans
pudeur.Les gloires du Romantisme, 1859
- [2]
- Les romans de Mme Sand abondent en combinaisons
et en peintures dignes du célèbre M. de Sade...
Elle suit son idée qui la conduit à l’impudicité la
plus effrénée.Pierre-Joseph Proudhon, dans Les gloires du romantisme.
- [3]
- Sa plume empoisonnée est mille fois plus dangereuse que
la flèche empoisonnée du sauvage qui
ne tue que physiquement... Cet écrivain semble éprouver une joie infernale en initiant les lecteurs à tout ce que
l’immoralité renferme de plus hideux. Il en parle comme un être qui aurait épuisé jusqu’à la
lie la coupe du vice et se serait vautré dans tout ce que la débauche a de plus ignoble et
de plus crapuleux.Les gloires du Romantisme, 1859,p. 482
- [4]
- Le difficile avec George Sand c’est qu’on ne sait jamais
prendre cet auteur au sérieux. Comme femme,
elle
inspire le dégoût, comme homme, il donne l’envie
de rire.Les gloires du Romantisme.