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gdgrandGrand style du 17e siècle
« enEn vérité j’en suis toute touchée (de la mort de MrMonsieurM. Singlin) car outre l’obligation que j’avais à ce saint homme de sa charité prpour moi, me voilà retombée dans l’embarras où j’étais devant que de le prendre, c’est-à -dire d’avoir besoin de ququ’unquelqu’un &et de ne savoir qui prendre. Je vous prie de bien prier Dieu prpour moi. Je ne doute pas que vous ne soyez bien touchée aussi, et qu’entre le touchement d’amitié &et de besoin, vous ne la soyez aussi par voir la mort dans un de vos amis qui est quasi la voir en soi-même »Madame de Longueville à MeMadameMme de Sablé., 1664
(Ste BeuveSainte-Beuve, Port Royal, p.page 530., t.tome 2)- [2]
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[gdgrandGrand style du 17e siècle] - Mettre au-dessus le mot de P.L.Paul-Louis Courier : « laLa moindre femmelette du 17e siècle... »Réf. bibl.
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[gdgrandGrand style du 17e siècle] - (1)- Je ne dis rien de Pharnace, car qui ne sait pas que cene fut paslui
qui souleva
contre Mithridate ce qui lui restait de troupes &et qui força ce
prince à se vouloir empoisonner et à se passer son épée au travers
du corps, prpour ne pas tomber entre les mains de ses ennemis. C’est ce
même Pharnace qui fut vaincu depuis par Jules César &et qui fut
tué ensuite dans une autre
bataille.Racine., Préface de Mithridate
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Styles du gdgrand siècle
Depuis votre départ nous goûtons cent délices dansDans nos doux exercices Même prpour exprimer nos passe-temps diversnousNous composons des vers.uneUne troupe sans pair de jeunes demoiselles vertueusesVertueuses &et belles aA prpour son entretien cent jeunes damoiseaux sagesSages, adroits &et beaux.Le Prince de Condé
v.voir Taine., philphilosophesPhilosophes fran.français, p.page 105