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Cote : g226_3_f_097__r____ | ID_folio : 905 | ID_Transcription : 3082 | ID_Image : 2714
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Grands Ă©crivains
Molière

Veux-tu que je te die ? une atteinte secrète Ne laisse point mon âme en une bonne assiette ; Oui, quoiqu’à mon amour tu puisses repartir, Il craint d’être la dupe, à ne te point mentir ; Qu’en faveur d’un rival ta foi ne secorrompe, Ou du moins qu’avec moi toi-même on ne te trompe.Molière, Le Dépit amoureux, acte I, sc. I
[2]
Ah ! vous avez raison. L’objet de votre amour, lui, dont à la maison Votre imposture enlève un puissant héritage, Et qui, de votre sexe ayant le moindre ombrage, Verrait incontinent ce bien lui retourner !Molière, Le Dépit amoureux, acte II, sc. I
[3]
Point du tout ; je vous dis que, régnant dans votre âme Je voudrais de bon cœur couronner votre flamme.Molière, Le Dépit amoureux, acte II, sc. II
[4]
Quelque titre honteux qu’en tous lieux on lui donne, Son misérable honneur ne voit pour lui personne.Molière, Le Misanthrope, acte I, sc. Ire
[5]
Description de Paris dans L'École des femmes.Réf. bibl.

Transcription : Rosa Maria Palermo di Stefano

Page préparée pour le « second volume »

Titre de la page : Grands Ă©crivains

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