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Styles.
Classiques
Racine -
Pour venir jusqu’à moi, ses soupirs embrasés se font jour au travers de deux camps opposés. (Act 1er)-
nos chefs
&
nos soldats brûlant d’impatience
font lire sur leur front une mâle assurance.
( II.
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Fidèle confident du beau feu de sonmon maître,
. . . après tant de soupirs, que faut-il qu’il espère
(Alexandre)
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que lui sert de courir de contrée en contrée
s’il faut que de ce cœur vous fermiez l’entrée
si pr
ne point répondre à de sincères vœux
vous cherchez chaque jour Ă douter de ses feux.
(c’est Éphestion qui parle !)
(1)
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Faut-il que tant d’états de ... déserts de rivières
soient entre nous
&
lui d’impuissantes barrières ?
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... Je connais mieux Madame
le beau feu que la gloire allume dans votre âme
c’est vous, je m’en souviens, dont les puissants
appas
excitaient tous nos rois ..
etc.
III ( II)
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ne tardez point, allez où l’amour vous appelle
et couronnez vos feux d’une palme si belle !
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les biens que j’ai conquis répandus sur leurs têtes
font voir que je soupire
app après d’autres conquêtes
je vous avais promis que l’effort de mon bras
m’approcherait bientôt de vos divins appas.
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cependant de Taxile appuyons les soupirs.
V.
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Andromaque.
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« Du sang qui vous unit, je sais l’étroite chaîne
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brûlé de plus de feux que je n’en allumai.
( I).
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– Je vous vis avec eux arriver en Épire
et quoique d’un autre œil, l’éclat victorieux
eût déjà prévenu le pouvoir de vos yeux
IV.
- Britannicus.
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Plût au ciel que sa main heureusement cruelle
eût fait sur moi l’essai de sa fureur nouvelle !