- [1]
- Styles.
Classiques
Racine
Pour venir jusqu’à moi, ses soupirs embrasésSe font jour à travers de deux camps opposés.(Acte 1er)- [2]
- [3]
- Fidèle confident du beau feu de mon maître, . . . après tant de soupirs, que faut-il qu’il espère(Alexandre)
- [4]
- Que lui sert de courir de contrée en contrée S’il faut que de ce cœur vous fermiez l’entrée Si pour ne point répondre à de sincères vœux Vous cherchez chaque jour à douter de ses feux. (c’est Éphestion qui parle !)(1)Réf. bibl.
- [5]
- [6]
- ... Je connais mieux Madame Le beau feu que la gloire allume dans votre âme C’est vous, je m’en souviens, dont les puissants
appasExcitaient tous nos rois...etc.(Acte II)
- [7]
- Ne tardez point, allez où l’amour vous appelle Et couronnez vos feux d’une palme si belle !Réf. bibl.
- [8]
- Les biens que j’ai conquis répandus sur leurs têtes Font voir que je soupire après d’autres conquêtes Je vous avais promis que l’effort de mon bras M’approcherait bientôt de vos divins appas.Réf. bibl.
- [9]
- Cependant de Taxile appuyons les soupirs.Acte V.
- [10]
- Andromaque
- « Du sang qui vous unit, je sais l’étroite chaîneRéf. bibl.
- [11]
- Brûlé de plus de feux que je n’en allumai. (Acte I).
- [12]
- – Je vous vis avec eux arriver en Épire Et quoique d’un autre œil, l’éclat victorieux Eût déjà prévenu le pouvoir de vos yeuxActe IV.
- [13]
- Britannicus
- Plût au ciel que sa main heureusement cruelle Eût fait sur moi l’essai de sa fureur nouvelle !Réf. bibl.