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Styles.
classiques
Racine. -
Le fier Assuérus couronne sa captive
et le Persan superbe est aux pieds d’une
Juive !
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La mort m’avait ravi les auteurs de mes jours.
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rĂ©pandus sur la terre, ils en couvraient la faceÂ
 ! »Â
les juifs
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Assuérus
ce mortel qui montra tant de zèle pr moi vit-il encore ? - Asaph.
il voit l’astre qui vous éclaire. -
Athalie.
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Il (Dieu) donne aux fleurs leur aimable peinture
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une voix
seule
D’un joug cruel il sauva nos aïeux les nourrit au désert d’un pain délicieux il nous donne ses lois, il se donne lui-même p. tant de biens, il commande qu’on l’aime »  (l’eucharistie !!!) -
Athalie
(Ă Joas
Les Plaisirs, près de moi vous chercheront en foule ! -
Ainsi, l’on vit l’aimable Samuel
croĂ®tre Ă l’ombre du tabernacleÂ
Samuel.
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Mithridate
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Mithride
Ă Monime.
Madame, enfin le ciel près de vous me rappelle et secondant, du moins, mes plus tendres souhaits, vous rend à mon amour plus belle que jamais. » galanterie act. 2 sc IV. -
Jusqu’ici la fortune
&
la victoire mĂŞme
Cachaient mes cheveux blancs sous trente diadèmes -
quoi ! des plus chères mains craignant les trahisons
j’ai pris soin de m’armer contre tous les poisons
j’ai su, par une longue & pénible industrie,
des plus mortels venins prévenir la furie ;
Ah ! qu’il eût mieux valu, plus sage & plus heureux,
et repoussant les traits d’un amour dangereux
ne pas laisser remplir d’ardeurs empoisonnées
un cœur, déjà glacé par le froid des années !
de ce trouble fatal par où dois-je sortir ?