- [1]
- Bérénice
- Souvent ce Cabinetcabinet superbe &et solitaire dDes secrets de Titus est le dépositaire.Réf. bibl.
- [2]
- [Bérénice]
- tTitus queQue dit-on des soupirs que je pousse prpour elle ? qQuel succès attend-on d’un amour si fidèle ?Réf. bibl.
- [3]
- [Bérénice]
- maMa jeunesse nourrie à la cour de Néron s'S'égarait, cher Paulin, par l’exemple abusée eEt suivait du plaisir la pente trop
aisée. (laLa cour de Néron)Réf. bibl.
- [4]
- [Bérénice]
- x
- mMon cœur libre d’ailleurs, sans craindre les murmures pPeut brûler à son choix dans des flammes obscures.(Acte III)
- [5]
- Bajazet
- Déployez en son nom, cet étendard fatal dDes périls extrêmes l’ordinaire signal. (l’L'étendard du Prophète -)Réf. bibl.
- [6]
- [Bajazet]
Bajazet - sSes périls, ses respects, &et surtout vos appastoutTout cela de son cœur ne vous répond-il pas ?Réf. bibl.
- [7]
- [Bajazet]
Bajazet - Rhodes, des Ottomans ce redoutable écueil,dDe tous ses défenseurs devenu le cercueil. (Rhodes)Réf. bibl.
- [8]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
Phèdre. - voyageVoyage infortuné ! Rivage malheureux fl fFallait-il approcher de tes bords dangereux ?Réf. bibl.
- [9]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - dDe son fatal hymen je cultivais les fruits.Réf. bibl.
- [10]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - xx
- J’ai conçu p-pour mon crime une juste terreur. J’ai pris la vie en haine &et ma flamme en horreur.jJe voulais en mourant prendre soin de ma
gloire etEt dérober au jour une flamme si noire !(Acte I).
- [11]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - dDéjà plus d’un tyran, plus d’un monstre faroucheavaitAvait de votre bras senti la pesanteur.Réf. bibl.
- [12]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - rReste impur des brigands dont j’ai purgé la
terre !Réf. bibl.
- [13]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - d'D'un perfide ennemi j’ai purgé la nature.Réf. bibl.
- [14]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - dDe ton horrible aspect purge tous mes états
!RĂ©f. bibl.
- [15]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - x
- jJe n’avais qu’un ami ; son imprudente flammedDu tyran de l’Épire allait ravir la me.Réf. bibl.
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- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - p-Pour parvenir au but de ses noires amours lL’insolent, de la force empruntait le secours.Réf. bibl.
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- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - Ah ! que ton impudence excite mon courroux !Réf. bibl.
- [18]
- [Styles]
[classiques]
[Racine]
[Phèdre] - x
- etEt p-pour tout autre objet ton âme indifférente dDédaignait de brûler d’une flamme innocente.Réf. bibl.