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Styles
.
Classiques
C. Delavigne. -
Se
- Je roulais vers Bayonne oĂą tendait mon voyage
soudain vint à passer un brillant équipage
. . . .
sa suivante Ă mon char la conduit par la main
Elle allait à Bordeaux. J’en reprends le chemin.
Les plus fières beautés, n’ont jamais dans l’Asie
d’un aiguillon si vif, piqué ma fantaisie.
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Pembrock.
Eh ! mais, par quel hazard
avez-vous donc quitté votre oncle Balthazard ?
D’intendant près de lui, vous remplissiez l’office
&
ce fut par vos soins qu’il me rendit service.
Granville.
Il vivait au Mogol, en forban retiré.
les Comédiens. act
 I sc
 II.
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Bonnard
toi grand propriétaire, autrefois armateur
du Havre, oĂą tu naquis, constant adorateur,
tu cesses de l’aimer ?
Danville.
qui ? moi, charmante ville
Elle fut mon berceau. doux climat, sol fertile
d’habi
d’aimables habitans
. . un site ! Ah ! quel tableau
après Constantinople, il n’est rien d’aussi beau.
(
écol. des vieillards. act
I sc. I)
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Styles classiques
Casimir Delavigne -
ces débris ont p. moi d’invincibles appas
me répond un ami qu’aux doux travaux d’Apelle
Ă Rome, au Vatican, son sort en vain rappelle.
La sybille.
- Au roi de Rome.
-
Reçois, royal enfant les vœux de la patrie
qu’un laurier paternel ombrage ton berceau
que la gloire
&
les arts qui charmeront ta vie
consacrent à jamais le règne le plus beau.