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Cote : g226_3_f_116__r____ | ID_folio : 85 | ID_Transcription : 3098 | ID_Image : 254
Styles .
Classiques
C. Delavigne.

Se - Je roulais vers Bayonne où tendait mon voyage soudain vint à passer un brillant équipage . . . . sa suivante à mon char la conduit par la main Elle allait à Bordeaux. J’en reprends le chemin. Les plus fières beautés, n’ont jamais dans l’Asie d’un aiguillon si vif, piqué ma fantaisie.
Pembrock. Eh ! mais, par quel hazard avez-vous donc quitté votre oncle Balthazard ? D’intendant près de lui, vous remplissiez l’office & ce fut par vos soins qu’il me rendit service. Granville. Il vivait au Mogol, en forban retiré. les Comédiens. act  I sc  II.
Bonnard toi grand propriétaire, autrefois armateur du Havre, où tu naquis, constant adorateur, tu cesses de l’aimer ? Danville. qui ? moi, charmante ville Elle fut mon berceau. doux climat, sol fertile d’habi d’aimables habitans . . un site ! Ah ! quel tableau après Constantinople, il n’est rien d’aussi beau. ( écol. des vieillards. act I sc. I)
Styles classiques
Casimir Delavigne

ces débris ont p. moi d’invincibles appas me répond un ami qu’aux doux travaux d’Apelle à Rome, au Vatican, son sort en vain rappelle. La sybille.
Au roi de Rome.
Reçois, royal enfant les vœux de la patrie qu’un laurier paternel ombrage ton berceau que la gloire & les arts qui charmeront ta vie consacrent à jamais le règne le plus beau.

Transcription : Rosa Maria Palermo di Stefano

Page préparée pour le « second volume »

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