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Cote : g226_3_f_119__r____ | ID_folio : 996 | ID_Transcription : 782 | ID_Image : 2987
[1]
Style médical
Les vins vigoureux dont elles sont sans cesse abreuvées, les liqueurs spiritueuses qu’elles avalent comme l’eau, l’abus qu’elles font du café et du chocolat dont l’excès chez elles est prodigieux, toutes choses enfin dont une seule est capable de corrompre l’harmonie animale, et qui réunies mettent le comble aux feux qui les dévorent ; tout cela porte dans les passions la torche ardente des plus honteuses et des plus excessives cupidités.P. 18, La nymphomanie ou de la fureur utérine, De Bienville, 1789, nouvelle éd., in-12
[2]
Son cœur était un composé de soufre toujours exposé au flambeau de l’amour, et c’était une quintessence de feu qui coulait dans ses veines.Id., p. 157
[3]
« Saint… Albin fut celui sur qui dardèrent les rayons de sa flamme ce fut en sa faveur qu’ils se réunirent. Ce jeune homme s’en aperçut bientôt. Son bonheur lui semblait trop grand pour ne pas chercher des moyens d’en profiter. »Id., p. 165
[4]
Histoire philosophique de la femme, Menville de Ponsan

Transcription : Simonetta Micale, Norioki Sugaya

Page préparée pour le « second volume »

Titre de la page : Style médical

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