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- La Sciencescience & la morale funeste à la  morale
La moralisation par la Sciencescience est une chimère et la Sciencescience ne peut donner que plus de force et fournir plus de ressources à la perversité.Le Monde), mars 1865, Coquille- [2]
- La Sciencescience funeste
- La science rend l’homme paresseux, inhabile aux affaires
et aux grandes entreprises,
disputeur, entêté de ses propres
opinions et méprisant celles d’autrui, observateur critique
du gouvernement, contempteur de l’autorité et des
dogmes nationaux –.p.pageP. 301.,
De Maistre., Lettres &et opuscules inédits
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- Idées  Scientifiquesscientifiques
L’égliseL’Église du côté de la Sciencescience - La religion est le plus grand véhicule de la Sciencescience –.
De Maistre., Les soirées de St PétersbourgSaint-Pétersbourg
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- Belles idées Scientifiquesscientifiques
souciSouci de la  vérité
Toute autorité, mais surtout celle de l’éÉglise, doit s’opposer aux nouveautés, sans se laisser effrayer par le danger de retarder la découverte de quelques vérités, inconvénient passager et tout-à -fait nul, comparé à celui d’ébranler les institutions et les opinions reçues.p.pageP. 283., T.Tomet. II, de Maistre., Exam.Examen de la Philos.Philosophiephilosophie de Bacon- [5]
- Religion
L’égliseL’Église toujours du  côté de la Sciencescience
L’Église n’a jamais condamné aucune découverte scientifique. p.page 271 T.Tome II Le raisonnement, l’expérience, l’analogie, tout se réunit pour établir la rondeur de la terre. À nulle époque du monde cette vérité n’a pu être universellement ignorée. deDe Maistre., Exam.Examen de la  Philos.Philosophiephilosophie de Bacon, p.page 271., T.Tomet. II- [6]
- Méthode  médicale
- médecineMédecine - jamais je n’admettrai l’homme qui nie audacieusemtaudacieusement mon âme à toucher mon corps.
P.Père Félix., Progr.Progrès, 1863., p.page 245
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- L’égliseL’Église favor.favorable à la Sciencescience
La doctrine catholique crée des savants &et développe le génie, comme aucune autre doctrine ne l’a jamais fait sur la terre. P.Père Félix., Progrès par le chr.christianisme, 1862., p.pagep. 267