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Cote : g226_3_f_142__r____ | ID_folio : 1597 | ID_Transcription : 1303 | ID_Image : 4790
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Style ecclésiastique
descriptionDescription de la  Valsevalse



« dansDans ce tournoiement vertigineux, le cavalier prend sa danseuse à bras le corps lui étreint la taille, &etla tient si rapprochée de sa poitrine que les haleines se confondent &et il n’y a plus de place entr’eux p.pour le bouquet blanc qui ornait autrefois la ceinture des jeunes filles. Elles ont été obligées d’y renoncer, puisqu’il était fané écrasé dès la première danse, triste &et frappant symbole de ce qui arrive à la fleur de leur innocence, dès qu’elles participent à de pareils plaisirs. Je m’arrête Madame dans la crainte de ternir mon imagination etc.Réf. bibl.
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[Style ecclésiastique]
[descriptionDescription de la  Valsevalse]
... etEt ces hommes parmi lesquels il y en a tant de libertins, ou au moins dont la plupart ne cherche dans la danse qu’un plaisir sensuel vont la serrer dans leurs bras contre leur poitrine, l’emporter dans leurs mouvements désordonnés, l’agiter dans leur tourbillon, faire battre son cœur, même physiquement . .... etc.L’AbbéL'abbé Bautain, laLa chrétienneChrétienne de nos jours, 1859. –, p.pages 67-68
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1 Nous autres, avec les magnifiques faveurs de notre Cordon, récoltées à si peu de frais, nous mangeons les confitures de Saint-François, mais nous n’avons pas le pain, le pain qui nourrit ; les Tertiaire ont, avec les confitures, la mie du pain, ce que l’on donne aux enfants ; les austères Frères-Mineurs et les généreuses pénitentes de sainte Claire reçoivent le pain tout entier, avec les fortes et nourrissantes duretés d’une croûte bien cuite ; et les confitures ne sont pour eux que l’accessoire.Réf. bibl.
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Style ecclésiastique

– 25 – que l'accessoire. Aussi, combien de fois le Cordon franciscain n’a-t-il pas servi à saint- François pour attirer au Tiers-Ordre des âmes avides de bien faire ! Et, à son tour, combien de fois le Tiers-Ordre n’a-t-il pas été la porte par laquelle l’Esprit de Dieu a fait monter des âmes plus généreuses encore jusqu’aux deux grands Ordres de la pauvreté séraphique ! N’oublions pas, pauvres petites violettes du parterre de saint François d’Assise, n’oublions pas que nous ne sommes rien en comparaison de ces nobles pénitents auprès de ces zouaves de la Pénitence, nous ne sommes que des enfants de troupe.et si, devant Dieu et son Église, nous sommes revêtus du même uniforme tout resplendissant d’indulgences et de grâces inestimables, nous n’en sommes pas moins des enfants, qui ne doivent se réjouir que très modestement. Tâchons du moins, avec l’aide de Dieu et de notre bon Père saint François, de si bien profiter de cet inépuisable trésor de pardon et d’amour, que nous soyons toujours de bonsLe cordon séraphique MgrMonseigneur de Ségur. MgrMonseigneur Ségur Le cordon séraphiqueLe cordon séraphique, MgrMonseigneur de Ségur

Transcription : Simonetta Micale

Page préparée pour le « second volume »


Notes

1« Nous autres, avec les magnifiques faveurs de notre cordon récoltées à si peu de frais, nous mangeons les confitures de saint François, mais nous n’avons pas le pain, le pain qui nourrit. Les tertiaires ont, avec les confitures, la mie du pain, ce que l’on donne aux enfants ; les austères frères-mineurs et les généreuses pénitentes de Sainte-Claire reçoivent le pain tout entier avec les fortes et nourrissantes duretés d’une croûte bien cuite » (p. 22.) cf. Paul Parfait

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