Littérature dramatique, J.Jules Janin
- « jeJe donnerais tout ce fatras mal défini qu’on appelle les doctrines de la Convention
prpour une scène d’Athalie. Je troquerais volontiers tout le Contrat social prpour une
fable de LafontaineLa Fontaine. »ilIl déplore le mauvais langage des chambres. « Eh bien
Je m’accommoderais volontiers je le
jure d’un tyran comme LLouis Xiv entouré des
plus rares chefs-d’œuvreschefs-d’œuvre qui aient honoré la langue française &et l’esprit
humain. »
comparerComparer la Préface de Maupin. – même absence de philosophie et « le motla scène Athalie » rappelle le mot de MeMadameMme de Genlis « on ne jouera donc plus Athalie. » (ttomet. 1, p.pages 158-9)Réf. bibl. surSur le Marat de
David
- « Vous avez vu par hasard ... par malheur dans un épouvantable &et hideux
tableau cet ignoble Marat dans son bain dégoutantdégouttant de sang ? onOn vous répond
si vous demandez le nom du peintre de ces fanges méotides que ce peintre
a nom David ! – Avec ce Marat il a fait tout ce qu’on pouvait
faire une immondice ! Par
grâce &et par pitié ne touchons pas à ces
héros en bonnet rouge. etc.18 (p.page 179.)
- « queQue de travail dans ces deux tomes ! que de recherches que de patience
&et quel zèle ! »Réf. bibl.
-
« à À toutes ces fureurs en cinq actes &et même au discours de JJacquesJean-Jacques Rousseau
sur l’inégalité des conditions, je préfère &et de beaucoup un petit apologue
oriental que m’a raconté MrMonsieurM. FélixAlix Desgranges le savant interprète du
roi.
Des enfansenfants se disputaient dans la rue p-pour un sac de noix. Passe un bon derviche - qui veut arrêter la dispute. – Mes enfants leur dit-il voulez-vous que je partage ces noix entre vous tout comme ferait le Bon Dieu lui-même. – nous le voulons nous le voulons répètent les enfansenfants ! Alors le bon derviche prenant le sac de noix donne tout aux uns &et rien aux autres. &et ceci fait il poursuit tranquillement son chemin ».Réf. bibl. - Comme drames noirs vers le comm.commencement de 1830, chercher le MquisMarquismarquis de FabrasFavras Camille Desmoulins, les dragonnades.Réf. bibl.
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