Modes – costumes
- 1840
- Corsage croisé sur le côté gauche - ruches – manches larges serrées aux bras par 3
bavolets. qui se répètent au bas de la robe faisant éventail
laissant voir
le jupon.
- Corsage en velours vert, jupe de soie violette Ă 3 bavolets recouverts de dentelles
noires pareilles comme
disposition Ă celles du corsage.
- Homme : petite veste grise comme le pantalon, très serrée, poches de côté. aiguillettes
cordes sur la poitrine avec agrafe sur l’épaule gauche. - Calotte de velours rouge
sur l’oreille - pipe
turque courte - pantoufles jaunes. Sous-pieds. accoudé sur
un bahut.
- Corsage de bal, ayant une large guipure dont la ligne inférieure arrive à la
saignée
et sous les seins. la supérieure coupe le tiers des deux tétons et les bras. les
épaules, ont l’air, très tombantes et tout le buste a quelque chose de soufflé, de
bourré, comme une poupée l’est de son. c’est dur et tiède. cela va avec
une petite bouche en cœur, et beaucoup de papillotes massées en touffe. sur
chaque oreille. (Le Follet)
- Travestissement de jeune homme. pantalon mi-parti bleu et jaune, lourde noire,
aigle sur la
la poitrine, décolleté, coiffure et toque Raphaël.
- Les cordelières sont nombreuses et persistantes jusqu’en 1842.
- Échancrage en cœur, corsage violet, jupon blanc comme la capote, cordelière
violette. Manches larges.
- Garniture de roses avec les feuilles.
- Robe d’hiver verte, garnie d’hermine au bas.
- Le satin Pompadour, le satin
renaissance, le velours Louis XIV, le tissu fleurs de Louis XV, le pékin gde nous
ont paru les étoffes les plus adoptées par les femmes non dansantes. Celles des quadrilles mazourka
valses ont la gaze
zéphyr, le crêpe vapeur, le tutu papillon et le tutu illusion. À ces étoffes
aériennes mêlez des marabouts à des roses et vous serez à la mode.
- Schwartz, tailleur Ă la mode.