- humides et candides Ă la parole du prĂŞtre qui
dévoile une partie des mystère du mariage.
Non, car déjà elle ét/avait soulevé un coin du voile,
car déjà elle était veuve . . .
ce n'est pas que ce premier mariage eût
influencé beaucoup sur la jeune femme
que nous rencontrons au pied de l'autel
pour la seconde fois. Ludovica s'était marié
comme toute les jeunes filles, pour secouer le joug
paternele, pour être sa maîttresse, force lui fut de ne pas
réaliser ce beau rêve de jeune fille, car le mari
qu'elle avait pris, sans ôter rien des qualités qui
constitut un galant homme, Ă©tait jaloux de son
ombre, pour ludovica, c'était le plus grand défaut
qu’elle puisse reconnaître dans un homme.
son organisation inconsséquente et légère
ne devait pas amélioré ce sentiment iné chez
son mari, et bientôt elle s'apperçu qu'on ne
se mari pas toujours pour ĂŞtre libre.
qu'elque bruit coururent sur la légèreté de
ludovica, bruit pourtant sans grande consséquence
mais qui redoublèrent pourtant la vigilence