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Cote : g226_4_f_233__v____ | ID_folio : 142 | ID_Transcription : 429 | ID_Image : 425
humides et candides à la parole du prêtre qui dévoile une partie des mystère du mariage. Non, car déjà elle ét/avait soulevé un coin du voile, car déjà elle était veuve . . . ce n'est pas que ce premier mariage eût influencé beaucoup sur la jeune femme que nous rencontrons au pied de l'autel pour la seconde fois. Ludovica s'était marié comme toute les jeunes filles, pour secouer le joug paternele, pour être sa maîttresse, force lui fut de ne pas réaliser ce beau rêve de jeune fille, car le mari qu'elle avait pris, sans ôter rien des qualités qui constitut un galant homme, était jaloux de son ombre, pour ludovica, c'était le plus grand défaut qu’elle puisse reconnaître dans un homme. son organisation inconsséquente et légère ne devait pas amélioré ce sentiment iné chez son mari, et bientôt elle s'apperçu qu'on ne se mari pas toujours pour être libre. qu'elque bruit coururent sur la légèreté de ludovica, bruit pourtant sans grande consséquence mais qui redoublèrent pourtant la vigilence

Transcription : Douglas Siler

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