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Cote : g226_4_f_259__r____ | ID_folio : 1798 | ID_Transcription : 478 | ID_Image : 5393
inconsesqu'ence dépassait toute idée délicate
et Ă  ce funeste moment tout Ă©tait saisi
qu'elques-unes de ces saisies mĂŞme devait expirer
bientĂ´t on alait vendre, commant n'est-elle
pas morte. commant ne suije pas devenu fo … lle?
j'avais donné à louise tout ce que j'avais mes ressources
étaient épuisées sa n'avait pas été long j'avais
emprunter partout oĂą je pouvais le faire
j'avais fait signé à mon mari pour une
assez forte somme de billet qu'elle
n'avait remboursser qu'avec des renouvellement
les affiche de vente roulait Ă  proportion
Ă  la maison comme chez elle, il me
falait cacher tout cela Ă  mon mari
qui eût de suite refuser son nom ce
qui achevait de la perdre, car lui croyait
rendre service Ă  mr pradier.
oh comme j'ai souffert mon dieu . . . . .
tout était au mont-de-piété que faire
plus de ressource. . . plus rien . . . . .
il vint à l'idée de louise d'emprunter
Ă  plusieurs individus de qui elle avait satisfait
le caprice, triste moyen. enfin . . elle Ă©crivait
les lettre et moi j'alais les porter et le cœur
me battait arriver Ă  la porte, il me prenait
l'envie de lui dire que je n'avais trouver
perssonne, mais c'Ă©tait son espoir
pouvaije lui mentire, etaije sur d'allieur
que j'aurais un refus . . . . . .

Transcription : Douglas Siler

Document « brut » manuscrit

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