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Cote : g226_4_f_259__v____ | ID_folio : 613 | ID_Transcription : 479 | ID_Image : 1838
si j'avais écouter mes pressentiment, certe ? je
n'eu pas sonné, mais elle attendait elle . . .
et je sonnais. . . . . .
pas un de ces homme ne mis/t même de politesse
dans le refus qu'ils fesaient
. je me rappelle
q… un jour avoir été chez a A uber le grand compositeur
il me prit ma lettre et chez lui comme partout
je me présentais comme ignorant le contenue
de la lettre, cet homme n'eut même
pas la délicatesse d'écrire un mot cacheté
il me dit, tout bonnement, qu'elle s'addressait
fort mal. il me pri s t l'envie de lui
cracher au visage, à ce grand maître
qui ne se donnait pas la peine d'être
délicat, hé mon dieu tous ces être qui l'avait
aduller se sont à peu près conduit de la
même manière, d'où venait donc cela
pauvre louise pourquoi avoir tant jouer
avec l'estime du monde . . . . . . .
il me falait avaler toute l ces amertume et je
revenais les mains vides . . .
ces démarche toutes infructueuses qu'elles était
demandait du temps, et n'apportait aucun
remède, louise était prise par la vie
qu'elle s'était faite elle-même elle ne
pouvait sortir d'un malheur sans retomber
dans un autre, alors cette route avantureuse
et terrible ne pouvait plus se fermer pour elle
elle, était au somet d'une montagne glissante
un pied sur le précipice, un aveux

Transcription : Douglas Siler

Document « brut » manuscrit

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