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Cote : g226_5_f_060__r____ | ID_folio : 2941 | ID_Transcription : 2711 | ID_Image : 8822
Littérature
M. Albert Wolff étant rentré, le Figaro a envoyé promener M. Alfred d’Aunay du côté de Fougères. Mais ce n’était paraît-il, pas assez loin, car il envoie aujourd’hui, comme délégué de la presse, un récit de son voyage relatif à l’inauguration du chemin de fer de Vitré à Fougères. Ce récit en patois est émaillé de phrases dans le genre de celle-ci : De Fougères nous viennent de beaux granits et de très bonnes chaussures pour faire d’excellents trottoirs et pour s’en servir. Et pour preuve de goût, après avoir essayé de se moquer de M. Vitu, l’infortuné M. Alfred cite le dernier couplet d’une chanson chantée par M. de La Bédollière - à un banquet de quatre cents couverts : Un beau soleil de favorable augure Des ses rayons dora le premier grain ; Aux citoyens dont l’œuvre s’inaugure, O mes amis ! buvons avec entrain ! Maint incident compromit l’existence Du grand projet qu’ils avaient mis en train. Par le talent ! par la persévérance ! Ils ont fait leur chemin ! (bis).C’est M. de la Bedollière qui sera peu flatté de voir tirer une machine de cette force-là à cinquante mille exemplaires. Réf. bibl.
Lucas est un con . – cette image est gracieuse et me ravit mais elle est fausse, et c’est dommage : son nez a la forme d’un vit.
Glatigny.

Nous prêtons serment à la divinité représentée ici par un homme qui est la manifestation la plus élevée de dieu dans l’humanité
Charles Lambert Procès des St -simoniens (Figaro 28 août 1867.)

quoi de plus attrayant que l’étude de la nature en ce qui concerne les avantages et les inconvénients de ses produits alimentaires pour notre estomac !
Baron Brisse Liberté 10 août 1866

Gondinet Son esprit, trop porté peut-être à s’ébattre dans le domaine de la fontaine, est de ceux qui ne peuvent que gagner à se charger du lest salutaire de la réalité. P challemel Lacour. revue des des deux mondes. page 1054 15 février 1868
je me sens maternelle pour tous ceux que j’aime. 306 Mellemerquim. George Sand revue des 2 mondes 15 janvier 1868.
Ses yeux d’émeraude avaient une des couleurs des demoiselles qui jouaient sur l’eau terne d’une mare voisine
salon de Fernande H de Lacretelle 9 janvier 69 Figaro

Rien ne peut dire les délicieuses mollesses de sa ceinture P féval rue de Jérusalem IXbre 1867 (Constitutionnel)
Et je n’oublierai pas le vingt juillet, le jour, Madame, où je vous ai revue au Luxembourg!!..
Paulin Limayrac extrait du Chérubin 1835 par L ulbach. (indépendance 9 février 1868)

on dit que tu bois quelquefois
c’est vrai que voulez-vous, je suis marié Monsieur !

Transcription : Elisabeth BaĂŻsse

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