Cote g226 - vol. 5 - f°122 - Recto - 
f°122 - Verso | f°123 - Recto*
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Il me reste l'amour de ma mère
Félix Pyat
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Les comanches dévorent les cadavres et boivent le sang. Hum ! Hum ! Les comanches
veulent des chevelures et leurs ennemis fuient épouvantés. Hum ! Hum ! car nul n'ose
résister aux grands braves des bisons rouges. Hum ! Hum !
Gustave aimard
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* * Rouvière
Pauvre cher Rouvière ! vous le conaissez, c'est un étalon trop puissant pour les pièces
qu'on lui donnerait à saillir. il les déchirerait, il est si farouche, et les ferait craquer, il
est si vigoureux – qu'on les taille et nous verrons ensuite.
Léon Cladel
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* * L'alexandrin
L'alexandrin parle des vertus et des vices avec toute l'autorité convenable. C'est son
vrai langage. Sous la main de Molière, il se brisait, il s'assouplissait pour suivre les
détours de la conversation . on eût dit le gendarme qui rentré dans son ménage
débarbouille ses enfants et leur trempe la soupe.
Francisque Sarrey .
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* * Ma vieille maitresse.
Quand Vallerie entrait, elle bondissait dans mes bras et c'était avec le mouvement
des tigresses amoureuses qu'elle se roulait sur mes tapis en m'y entraînant avec elle .
Barbey d'aurevilly
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Hic obcenus est jocus. Patin
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pas K……
Une minute ! ah ! ma pauvre tête ! … mon dieu ! mon dieu ! mais je ne suis qu'une
l'auteur du registre des savants…
femme moi ! … la torture ! … les bourreaux ! … ah ! non ! non ! … tu veux
que je l'avoue ? … eh bien ! … ah ! je ne le peux pas ! je ne le peux pas.
Victor séjour.
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— Peut-on voir sans horreur un soldat exécrable
couper avec son sabre une personne aimable ?
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* * iverlyn