Garnier, 2
- Bossuet incline Ă croire que l’agriculture et l’art pastoral ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s directement Ă
l’homme par
son créateur. (Histoire universelle, 1re partie, 1re époque)Réf. bibl.
- Mais certains animaux pratiquent l’art pastoral, - quelques races de fourmis élèvent
d’autres insectes pour les traire. (Duméril, Éléments des sciences naturelles, 4e éd., t. 2, p. 132)Réf. bibl.
- Quant à l’invention du feu « la chair des animaux préparée par le feu
est si
bien appropriée à la nourriture de l’homme qu’on ne peut
croire que la Providence
ait laissé au hasard la découverte de la
préparation » - et il revient là -dessusp. 109.
- Ainsi, la créature la plus parfaite,
l’homme, n’a pas été
faite par Dieu pour vivre sur la terre. Il a fallu que
le créateur se mît à lui apprendre le
labourage, - la cuisine - et selon d’autres
la grammaire !Réf. bibl.
- La Providence a refusé aux animaux l’instinct de faire du feu « afin
qu’ils ne pussent
pas détruire les ouvrages de l’homme ! »Réf. bibl.
- « Si notre cœur a un instant cessé de battre, c’est pour nous un moment de bien-être que
celui où le cœur reprend
son mouvement régulier ! » - C'est absolument le contraire.
Ce moment est douloureux.RĂ©f. bibl.
- « Nous désignons sous ce mot une inclination purement physique qu’il
ne faut pas confondre avec un
sentiment du cœur ! »
(p. 112). Le paragraphe a 14 lignes
et voilà tout - pour cette faculté.Réf. bibl.
- « Chez l’avare l’amour de la possession est poussé
au-delĂ des justes bornes
et demanderait à être tempéré
par la raison ! »(p. 123)
- L’instinct croît à mesure que décroît l’intelligence
générale. » (Flourens, Résumé des observations de Frédéric Cuvier sur
l’instinct et l’intelligence des
animaux)RĂ©f. bibl.
- jaloux étant enfant, avait l’eau en horreur. (Rapport de M. Cousin à l’Académie française sur les
Pensées de Pascal)Réf. bibl.
- Il n’y a de beau que ce qui flatte l’esprit.(p. 233)
- Dans certaines parties de la Nouvelle-Hollande
l’homme ne peut soumettre la femme qu’en
l’entraînant au désert et
en l’étourdissant sous ses coups. (Dumont Durville, Astrolabe)Réf. bibl.
- « L'amour du beau est l’amour des qualités du cœur et de l’esprit, l’amour de ce qui flatte
l’âme et non les sens. Il est, sous ce rapport, l’opposé de l’amour de
l’utile. »(p. 280)
- Platon finit par conclure que le problème de la beauté
est difficile
et il n’en donne pas la solution. (Le grand Hippias) Réf. bibl.
- Descartes n’a pas fait un traité
exprès de la beauté. Il n’a pris ce mot que dans
le sens de la beauté
sensible et l’on voit d’après quelques phrases de son Traité des passions,
de son abrégé de la Musique et de ses lettres qu’il faisait consister cette beauté dans
la régularité, la
proportion et l’expression. Réf. bibl.
- Suivant Hutcheson la beauté absolue des formes corporelles est constituée par l’accord de l’unité et de la variété.Réf. bibl.
Pourquoi pas aux animaux !