Fragments et références bibliographiques exactes |
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Garnier 4.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852.
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Descartes, pense que c’est seulement quand nous voulons considérer le temps en dehors des choses qui durent que nous produisons une pure pensée dont l’objet n’a pas de réalité extérieure. – Les pensées de Dieu n’ont pas de durée. Le temps est l’attribut des choses qui commencent & finissent. (202).
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 202.
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Si Dieu a créé le temps, il a donc créé sa propre éternité ! Car l’éternité est l’existence répandue dans tous les temps. Dieu était donc avant d’être éternel ? - non ! Mais le temps & l’espace sont les conditions de son éternité & de son immensité Il y a donc trois sortes d’infini, le temps, l’espace Dieu. (214).
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 214.
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le nombre // on a demandé si le nombre infini était pair ou impair mais les parties du temps & de l’espace ne peuvent se compter. il n’y a donc pas lieu de faire la question, car là où le nombre est impossible, il n’est ni pair ni impair.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 244.
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infini // « on ne conçoit l’infini que dans le sens du temps & de l’espace, & toute chose qui est incapable de s’étendre de l’un ou l’autre côté est également incapable de nous suggérer l’idée de l’infini. » (215).
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 245.
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L’homme ne peut avoir pris dans la nature le modèle de la ligne droite, puisqu’il n’y en a pas. - à en sauf celles peut-être que fait le soleil à travers les nuages. - (287)
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 286.
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des enfants élevés entr’eux produiraient spontanément des articulations & arriveraient à se former un langage.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 298.
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L’unité mathématique n’existe que dans l’esprit Elle est l’objet d’une conception idéale il en est de même des autres éléments mathématiques, la ligne, la surface & le solide. (308)
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 308.
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renversement de Méthode pr arriver à l’idée de Dieu. // - « La conception de la sagesse, de la tempérance du courage & de la justice appelle dans notre esprit l’idée d’une puissance qui nous contraindra à la pratique de ces vertus, ou qui en punira la violation » 316.Ainsi d’une Conception nous induirons un Être réel. c’est l’inverse de l’idéal, qui est toujours occasionné par une perception.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 316.
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– Deux écoles de jurisconsultes à Rome. Sabinus qui s’en tenait à la loi écrite sans en chercher l’origine. Proculus plaçait au-dessus de la loi l’idée du droit & de la Justice.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852. - p. 320.
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loi écrite, loi naturelle. – La loi écrite ne dispense pas de la loi naturelle. Elle la suppose, en dérive - et quand elle se tait, la loi naturelle doit être suivie.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852.
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Dieu punit Caïn, bien qu’il n’eut pas défendu le meurtre. il n’avait défendu que de toucher à l’arbre de science. Il avait donc mis dans l’intelligence humaine assez de lumière pr lui défendre tacitement l’homicide.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme. - 1852.
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