| Fragments et références bibliographiques exactes |
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[n°1]
insuffisance de la loi de Moïse. // elle autorise l’esclavage, la répudiation de l’épouse. Le père peut vendre sa fille frappe de mort la violation du sabbat, & l’adultère etc. ( 334)
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 334.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°2]
Les chrétiens ne viennent point prêcher une morale nouvelle. ils donnent seulement de nouveaux motifs de la mettre en pratique.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 334.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°3]
Courtisannes l’antiquité plus dure que nous. la loi moderne ne leur interdit pas, comme à Athènes, l’entrée des temples, l’accès de la place publique, l’usage de certains vêtements.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 356.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°4]
Bouvier évêque du Mans, déclare l’esclavage une chose licite en soi. (institutiones philosophicae, ad usum collegiorum Paris, 1841, t 3. 244
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 358.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°5]
La propriété & le mariage ne sont défendus par Platon (république) qu’aux guerriers. mais ils sont permis aux laboureurs & aux artisans.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 326.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°6]
défense de Platon, comme Communiste. Mais l’organisation de nos armées est formée sur ce modèle. nos soldats & ne font point le commerce, ne cultivent point les champs. le mariage leur est rendu très difficile
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 360.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°7]
L’église s’est aussi proposé le même but que Lycurgue & Platon - faire une société qui ne connaisse d’autre père que le chef - & d’autre épouse que la communauté.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°8]
L’église s’est aussi proposé le même but que Lycurgue & Platon - faire une société qui ne connaisse d’autre père que le chef - & d’autre épouse que la commu- nauté. Morale Le crime & le délit immoralité du Code Pénal. auraient dû être définis par le mal qu’ils font, & non pas la peine qu’on leur applique. on semble dire ainsi que c’est la gravité du châtiment qui fait la gravité de la mauvaise action.( 382)
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 383.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°9]
Un phénomène nous paraît expliqué quand il ressemble à un gd nombre d’autres phénomènes. La ressemblance est prise pr une explication & elle s’appelle loi de la nature
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 422.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°10]
plusieurs découvertes importantes sont dues à ce pressentiment des lois de la nature. ( 424). Linnée.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 424.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°11]
L’interprétation — faculté primordiale. L’enfant au berceau regarde votre visage & l’interprète. il ne regarde que le visage. Les connaissances antérieures ne sont pas assez nombreuses pr qu’il puisse induire.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 452.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°12]
Un langage se forme, naturellement, entre les sourds-… muets.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 461.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°13]
L’homme n’a pas créé sa langue en imitant les bruits extérieurs il serait alors inférieur à tous les animaux, s’il les avait copiés. - Le raisonnement dans ses opérations les plus compliquées ne peut tenir lieu des facultés primitives de l’esprit.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 490.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°14]
Le langage révélé à l’homme par Dieu. Bonald (législation primitive.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 498.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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Source alternative :
Bonald, L. - LĂ©gislation primitive. - 1817
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[n°15]
Bossuet pensait que « les termes du langage articulé sont artificiels, c’est-à -dire inventés par art - & qu’ils représentent les idées par institution, c’est-à -dire par ce que les hommes en sont convenus. »
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 498.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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[n°16]
Dans l’écriture, l’homme comprend Dieu, tout de suite, dès que Dieu lui parle, et il le comprend, sans en avoir reçu des leçons. Il est chargé de donner des noms aux animaux suivant son inspiration naturelle & non pas d’après une articulation fournie par Dieu.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 2. - p. 499.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852
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Cote g226 - vol. 6 - f°006 - Verso - 
f°007 - Recto | f°007 - Verso