- Deux panthéismes
- celui de Lamettrie et celui de Spinoza.RĂ©f. bibl.
- Le Dieu de Spinoza n’est pas le néant, c’est au contraire l’être absolu.(p. 446-447)
- « Dieu ne s’honore pas seulement par l’excellence de son ouvrage, mais
encore par la simplicité et la fécondité
par la sagesse de ses voies. »(p. 457)
- Critique de la monade.(p. 491)
- Nier l’action du corps sur l’âme - et celle de l’âme sur le corps - c’est nier un fait évident. (p. 496)
- Mais la raison est subjective ! Dieu, l’âme, la liberté n’en
sont que des formes. RĂ©f. bibl.
- « Vouloir que la raison cesse
entièrement d’être subjective, c’est
demander
une chose impossible à Dieu même. » Réf. bibl. Rapprochez cela de « la certitude » : alors que devient la philosophie ?
- Il déclare la raison incapable de certitude en
métaphysique - mais capable en morale. Cependant la certitude du devoir repose sur le témoignage de la
conscience ! - Mais ou la
conscience est sans valeur ici, ou ailleurs on n’avait pas le
droit de la rejeter ! (p. 557)
- Voltaire est pour. Lettre au roi de Prusse, octobre 1737.Réf. bibl.
- Voltaire les explique. (id.)RĂ©f. bibl.