Cours de PhilosophiephilosophieCours de philosophie
T. 1Â PsychologiePsychologie., Damiron., 1837
- poncifPoncif
- « l’activité, l’unité, l’identité personnelle, l’intelligence, la sensibilité, la liberté et
ses
conséquences. » (ttomet. 1er, p.page 9)
- L’unité du moi est la simplicité même, la non-pluralité, l’absence de parties – or,
comme c’est ce qui
n’est pas dans la matière, la conséquence naturelle qui suit
de cette vérité c’est que le Moi est immatériel, parce que un n’est pas
plusieurs. » (p.page 45)
- PrPour la réfutation des opinions matérialistes, voyvoyezvoy. du même auteur : Essai sur la
philos.philosophie en Fr.France au 19e siècle, chap.chapitres Cabanis, Garat, Lancetin, Gall, Broussais.Réf. bibl.
- La pensée n’est pas sans l’unité., ou plutôt l’unité est le fond de la pensée.
c’estC'est précisément le contraire prpour l’étendue, &et toutes les qualités qui modifient la matière.
La pluralité &et la juxtapositioncomposition leur sont essentiellement nécessaires. (p.page 56) Qu’est-ce que l’évidence ?
- L’évidence est dans les choses !elleElle les éclaire, les fait voir, les met en rapport
avec la pensée. Elle est comme la lumière
qui luit à l’œil. - elleElle est le principe
extérieur, excitateur, et nécessaire de toute
notion &et de toute science. Réf. bibl.
- Dans le système de Kant et de Fichte toute existence absolue &et substantielle n’est
plus qu’une hypothèse sans autre fondement que le besoin du Sujet &et du Moi, qui
l’admet prpour se satisfaire lui-même. - L’évidence &et la vérité ne sont que le fait
de l’intelligence, qui en même temps qu’elle crée chaque
réalité, y projette
un rayon de la lumière qu’elle a en elle. c’est le panthéisme retourné. à la
place de Pan = Ego.Réf. bibl.
- Mais c’est méconnaître le moi &et le non-moi. Dans ce qui est extérieur à moi, il y
a du nécessaire, de l’absolu de l’infini.
Mais le moi, par quelle illusion lui supposer
les attributs qui n’appartiennent qu’à Dieu ? (p.page 77)
- Les Fidèles croient aux Mystères, non pas parce qu’ils les comprennent, mais
parce-
qu’ils supposent que qqquelques uns, plus éclairés, les comprennent. ils acceptent ce qui leur
vient comme un « testament ». (p.page 91)
- Il est des choses que nous apprenons si vite que nous croyons que nous les savions
déjà . Dès qu’on croit
que les idées ne se développent pas, il faut bien croire
qu’elles sont innées. Réf. bibl.
- Sont intuitives. toutes les idées du Moi, de Dieu &et de la Nature « qui n’ont pas
trace d’analyse &et caractère d’abstraction » ! (p.page 108). Elles procèdent d’un instinct
de
la pensée. Réf. bibl.
- Le critérium ne doit être cherché ni dans nous ni dans les
autres - mais
dans un principe supérieur &et primitif : la raison. Réf. bibl.
- se compose de quatre éléments : application, distinction, décomposition, &et recomposition puis nous comparons - &et nous généralisons. Réf. bibl.
principalesPrincipales propriétés du Moi