- Suffit-il prpour connaître d’avoir des sens ? nonNon sans doute ! car les mêmes sens nous
sont communs Ă tous
- &et nous n’avons pas tous les mêmes connaissances. » (Logique, c.chapitrechap. I)
- vouloirVouloir trouver une explication unique prpour des phénomènes complexes. ;
rapporter à une seule cause des effets nés d’un gdgrand nombre de causes – ;
fonder chaque théorie sur un principe simple &et absolu.
obtenir(De gérandoGérando., p.page 326)
- « cetteCette question terrible dont les philosophes n’ont pas été assez
effrayés. » – D’Alembert.
- troisTrois classes : intellectuelle, animale, végéto-animale. celaCela rappelle les trois âmes des
péripatéticiens.
à À la sensation immédiate de l’ordre intellectuelle, il rapporte les pressentiments, les visions, l’art du deviner, &et de prédire - à la sensation animale ou précordiale, la sympathie, - à la sensation végéto-animale toutes les cures magnétiques. - uneUne âme immatérielle, immortelle est seule capable du sentiment.
Les fluides
ne sont que ses organes, tant prpour les sensations que prpour le mouvement.
- &et des autres objets extérieurs est douteuse prpour quiconque raisonne sans préjugé. (Buffon., De la nature de
l’Homme)
- combine Locke &et Leibnitz.
- n’est qu’une sensibilité plus relevée que la sensibilité
proprement dite. (essaiEssai analytanalytique sur l’âme)Â
- « yY aurait-il qquequelque rapport secret entre l’activité de la matière &et l’activité de l’âme ?
laLa nature qui ne va point par sauts mais qui passe par
degrĂ©s d’une production Ă
une autre production irait-elle
encore par degrés des substances matérielles aux
substances
spirituelles ? » Bonnet détourne la vue de cet abîme. (essaiEssai analytique., C.chapitrechap. VI)
- « ceCe qui est simple n’a en soi aucun principe de destruction, &et ne peut être anéanti
par aucune cause extérieure. orOr, il répugne à l’idée que nous avons de la bonté et de
la sagesse du créateur qu’il veuille anéantir son plus bel
ouvrage ! »
- a pensé qu’on n’avait pas pris un point de départ assez éloigné &et il s’est
demandé : « qu’estQu'est-ce que connaître &et quelquelle est la relation de la connaissance au
sujet qui connaît &et à l’objet connu ? - quelleQuelle est la loi en vertu de laquelle
nous formons une chaîne
des phénomènes observés ? - quelQuel est le moyen
de distinguer dans nos idées la part qui est
fournie par notre esprit,
qui nous appartient en propre, de celle qui est fournie par les objets qui
nous
est donnée ?
- ilIl y a aussi des jugements synthétiques à priori, c’est-à -dire qui ont lieu sans recevoir aucune donnée de l’expérience.