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Cote : g226_6_f_021__v____ | ID_folio : 2089 | ID_Transcription : 867 | ID_Image : 6266
Suffit-il prpour connaître d’avoir des sens ? nonNon sans doute ! car les mêmes sens nous sont communs à tous - &et nous n’avons pas tous les mêmes connaissances. » (Logique, c.chapitrechap. I)
Faute commune à tous les philosophes :
vouloirVouloir trouver une explication unique prpour des phénomènes complexes. ; rapporter à une seule cause des effets nés d’un gdgrand nombre de causes – ; fonder chaque théorie sur un principe simple &et absolu. obtenir(De gérandoGérando., p.page 326)
« prquoipourquoiPourquoi y a-t-il qquequelque chose ? »
« cetteCette question terrible dont les philosophes n’ont pas été assez effrayés. » – D’Alembert.
Le Cat., traitéTraité des sensations
troisTrois classes : intellectuelle, animale, végéto-animale. celaCela rappelle les trois âmes des péripatéticiens.
àÀ la sensation immédiate de l’ordre intellectuelle, il rapporte les pressentiments, les visions, l’art du deviner, &et de prédire - à la sensation animale ou précordiale, la sympathie, - à la sensation végéto-animale toutes les cures magnétiques.

uneUne âme immatérielle, immortelle est seule capable du sentiment. Les fluides ne sont que ses organes, tant prpour les sensations que prpour le mouvement.
L’existence de notre corps
&et des autres objets extérieurs est douteuse prpour quiconque raisonne sans préjugé. (Buffon., De la nature de l’Homme)
Bonnet
combine Locke &et Leibnitz.
L’entendement
n’est qu’une sensibilité plus relevée que la sensibilité proprement dite. (essaiEssai analytanalytique sur l’âme) 
« yY aurait-il qquequelque rapport secret entre l’activité de la matière &et l’activité de l’âme ? laLa nature qui ne va point par sauts mais qui passe par degrés d’une production à une autre production irait-elle encore par degrés des substances matérielles aux substances spirituelles ? » Bonnet détourne la vue de cet abîme. (essaiEssai analytique., C.chapitrechap. VI)
immortalitéImmortalité de l’âme., preuve. : mendelshonMendelsohn., phaedonPhœdon
« ceCe qui est simple n’a en soi aucun principe de destruction, &et ne peut être anéanti par aucune cause extérieure. orOr, il répugne à l’idée que nous avons de la bonté et de la sagesse du créateur qu’il veuille anéantir son plus bel ouvrage ! »
Kant
a pensé qu’on n’avait pas pris un point de départ assez éloigné &et il s’est demandé : « qu’estQu'est-ce que connaître &et quelquelle est la relation de la connaissance au sujet qui connaît &et à l’objet connu ? - quelleQuelle est la loi en vertu de laquelle nous formons une chaîne des phénomènes observés ? - quelQuel est le moyen de distinguer dans nos idées la part qui est fournie par notre esprit, qui nous appartient en propre, de celle qui est fournie par les objets qui nous est donnée ?
ilIl y a aussi des jugements synthétiques à priori, c’est-à-dire qui ont lieu sans recevoir aucune donnée de l’expérience.

Transcription : Atsushi Yamazaki

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